L'ONG First Company, une structure spécialisée en relationnel d'affaires, a lancé mardi à Abidjan, la première édition de «Africa Green Lady Day», un concours réservé aux femmes africaines porteuses de projets sur le développement durable (projets verts) qui aura lieu en 2020 dans plusieurs pays d'Afrique du Centre et de l'Ouest dont la Côte d'Ivoire, le Burkina Faso et le Sénégal, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Ce concours dont la grande soirée de récompense est prévue en février 2020 dans chacun des pays concernés, permettra de financer par pays la porteuse du meilleur ''projet vert''.
Dans chacun des pays, la porteuse du meilleur projet de la soirée aura les financements et deviendra ''Africa Green Lady'' du pays pour une durée d'un an.
Sa mission sera entre autres, d'impulser des actions en faveur de l'environnement et du développement durable, de mener des actions sociales communautaires rurales et péri-urbaines et implanter ''Africa Green Team'' dans les grandes villes du pays, a expliqué dans une conférence de presse, Moni N'Guessan, le président de l'ONG First Company.
Selon lui, ce concours donne l'occasion aux dames de toutes tendances culturelles, professionnelles en entreprises ou en activités libres de s'impliquer dans la sensibilisation et l'éducation à grande échelle avec des messages appropriés.
« Notre institution, à travers cette activité vient offrir une alternative dans les actions de protection de l'environnement, de promotion sociale et du développement», a-t-il poursuivi indiquant que les projets de la compétition devraient porter sur l'un des trois piliers du développement durable que sont l'environnement, l'économie et le social.
Les trois meilleurs projets seront primés. Il y'a dix critères pour participer à la compétition. Les candidates peuvent s'inscrire jusqu'au 10 décembre prochain, a précisé M. N'Guessan qui est également le directeur technique adjoint du Port autonome d'Abidjan.
« La soirée Africa Green Lady Day sera l'occasion pour les autorités des différents pays de reconnaître le mérite des braves dames volontaires qui, depuis longtemps se sont personnellement engagées dans la protection de l'environnement et la promotion du développement durable », a conclu le conférencier.
LB/ls/APA
Ce concours dont la grande soirée de récompense est prévue en février 2020 dans chacun des pays concernés, permettra de financer par pays la porteuse du meilleur ''projet vert''.
Dans chacun des pays, la porteuse du meilleur projet de la soirée aura les financements et deviendra ''Africa Green Lady'' du pays pour une durée d'un an.
Sa mission sera entre autres, d'impulser des actions en faveur de l'environnement et du développement durable, de mener des actions sociales communautaires rurales et péri-urbaines et implanter ''Africa Green Team'' dans les grandes villes du pays, a expliqué dans une conférence de presse, Moni N'Guessan, le président de l'ONG First Company.
Selon lui, ce concours donne l'occasion aux dames de toutes tendances culturelles, professionnelles en entreprises ou en activités libres de s'impliquer dans la sensibilisation et l'éducation à grande échelle avec des messages appropriés.
« Notre institution, à travers cette activité vient offrir une alternative dans les actions de protection de l'environnement, de promotion sociale et du développement», a-t-il poursuivi indiquant que les projets de la compétition devraient porter sur l'un des trois piliers du développement durable que sont l'environnement, l'économie et le social.
Les trois meilleurs projets seront primés. Il y'a dix critères pour participer à la compétition. Les candidates peuvent s'inscrire jusqu'au 10 décembre prochain, a précisé M. N'Guessan qui est également le directeur technique adjoint du Port autonome d'Abidjan.
« La soirée Africa Green Lady Day sera l'occasion pour les autorités des différents pays de reconnaître le mérite des braves dames volontaires qui, depuis longtemps se sont personnellement engagées dans la protection de l'environnement et la promotion du développement durable », a conclu le conférencier.
LB/ls/APA