• Quant à la célébration du 18 octobre, je trouve curieux qu’on célèbre l’anniversaire d’un mort.
Les 5 et 7 décembre prochain les enfants d’Houphouët réunis au sein du RHDP viendront rendre hommage à Félix Houphouët-Boigny. Vous, en tant que petit neveu quel commentaire faites-vous ?
Je suis heureux de cette initiative qui a été prise par le RHDP d’organiser deux journées d’hommage à la mémoire du président Félix Houphouët-Boigny. Que l’idée vienne du RHDP ou d’une personne individuelle, je m’associe à toute cérémonie qui consiste à rendre hommage à Félix Houphouët-Boigny. Ma vie entière étant un hommage permanent qui n’a tend pas de date ni de circonstance particulière.
Croyez-vous au chiffre de 200.000 personnes annoncées pour la mobilisation de ces deux jours ?
Nous atteindrons tous les objectifs que nous nous sommes fixés en matière de mobilisation. Nos équipes sont sur le terrain. Les retours que nous avons sont positifs. Ce n’est pas une mobilisation limitée au seul District de Yamoussoukro. C’est un hommage national et donc les militants du RHDP vont venir de toute la Côte d’Ivoire. Du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest en passant par le centre. Nous sommes sereins.
Le PDCI a célébré la date de naissance de Félix Houphouët-Boigny ici même à Yamoussoukro en octobre dernier, aujourd’hui c’est le RHDP qui tient à commémorer le 7 décembre date anniversaire de sa mort. Pensez-vous que tous les fils de Yamoussoukro vont se reconnaître en cet illustre personnage ce jour-là ?
Je ne suis pas tous les fils de Yamoussoukro. Mais du premier janvier au 31 décembre les enfants de Yamoussoukro se reconnaisse en la personne d'Houphouet Boigny. Ce n’est pas seulement le 18 octobre, ni le 7 décembre. Quant à la célébration du 18 octobre, je trouve curieux qu’on célèbre l’anniversaire d’un mort. On peut se remémorer la date de sa mort. Mais célébrer l’anniversaire d’un mort où est le gâteau et où sont les bougies C’est curieux.
Quels sont les dispositions prises pour le volet sécuritaire
Ce n’est pas la première fois que nous organisons les mobilisations. Je ne crois pas que vous avez eu à signaler des problèmes, il y a eu des précédents. Tant au niveau de la police, de la gendarmerie et même d’autres services sécurité que nous allons mettre en place, toutes les dispositions sont prises pour éviter les débordements et incidents. Vous ne dévoilez votre plan de bataille avant d’aller à la guerre. Mais en gros, nous sommes prêts.
Interview réalisée par
Ouattara Ahmed
(Correspondant régional)
Les 5 et 7 décembre prochain les enfants d’Houphouët réunis au sein du RHDP viendront rendre hommage à Félix Houphouët-Boigny. Vous, en tant que petit neveu quel commentaire faites-vous ?
Je suis heureux de cette initiative qui a été prise par le RHDP d’organiser deux journées d’hommage à la mémoire du président Félix Houphouët-Boigny. Que l’idée vienne du RHDP ou d’une personne individuelle, je m’associe à toute cérémonie qui consiste à rendre hommage à Félix Houphouët-Boigny. Ma vie entière étant un hommage permanent qui n’a tend pas de date ni de circonstance particulière.
Croyez-vous au chiffre de 200.000 personnes annoncées pour la mobilisation de ces deux jours ?
Nous atteindrons tous les objectifs que nous nous sommes fixés en matière de mobilisation. Nos équipes sont sur le terrain. Les retours que nous avons sont positifs. Ce n’est pas une mobilisation limitée au seul District de Yamoussoukro. C’est un hommage national et donc les militants du RHDP vont venir de toute la Côte d’Ivoire. Du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest en passant par le centre. Nous sommes sereins.
Le PDCI a célébré la date de naissance de Félix Houphouët-Boigny ici même à Yamoussoukro en octobre dernier, aujourd’hui c’est le RHDP qui tient à commémorer le 7 décembre date anniversaire de sa mort. Pensez-vous que tous les fils de Yamoussoukro vont se reconnaître en cet illustre personnage ce jour-là ?
Je ne suis pas tous les fils de Yamoussoukro. Mais du premier janvier au 31 décembre les enfants de Yamoussoukro se reconnaisse en la personne d'Houphouet Boigny. Ce n’est pas seulement le 18 octobre, ni le 7 décembre. Quant à la célébration du 18 octobre, je trouve curieux qu’on célèbre l’anniversaire d’un mort. On peut se remémorer la date de sa mort. Mais célébrer l’anniversaire d’un mort où est le gâteau et où sont les bougies C’est curieux.
Quels sont les dispositions prises pour le volet sécuritaire
Ce n’est pas la première fois que nous organisons les mobilisations. Je ne crois pas que vous avez eu à signaler des problèmes, il y a eu des précédents. Tant au niveau de la police, de la gendarmerie et même d’autres services sécurité que nous allons mettre en place, toutes les dispositions sont prises pour éviter les débordements et incidents. Vous ne dévoilez votre plan de bataille avant d’aller à la guerre. Mais en gros, nous sommes prêts.
Interview réalisée par
Ouattara Ahmed
(Correspondant régional)