Grand-Bassam- Le ministère de l'Intégration africaine et des Ivoiriens de l'extérieur, en collaboration avec le ministère de la Santé et de l'Hygiène publique, a organisé à Grand-Bassam un atelier régional d'échanges sur l'état d'avancement du projet de construction d'une usine de bio larvicides en Côte d' Ivoire.
Réunis mardi à Grand-Bassam, plusieurs experts venus du Bénin, du Burkina Faso, du Mali, du Ghana, de la Guinée Bissau, du Niger, du Nigeria, du Sénégal et du Togo ont partagé leurs expériences et engagé les actions des pays de l'Afrique de l'ouest dans la perspective de l'utilisation des bio larvicides dans la lutte contre le paludisme.
Il s'est agi de contribuer à la reprise du processus de construction d'usines de bio larvicides en Afrique de l'ouest, de partager leurs expériences et de s'informer sur l'état d'avancement du projet en Côte d'Ivoire. Pour le représentant de l'Organisation ouest africaine de la santé (OOAS-CEDEAO), Dr Kouakou Kouamé Alphonse, la reprise du projet de construction de l'usine de bio larvicides est nécessaire car en Afrique, le paludisme est un problème de santé publique.
Pour preuve, a-t-il indiqué, sur 219 millions de cas de paludisme enregistrés dans 87 pays, en 2017, 92% des cas et 93% des décès dus à cette maladie sont survenus en Afrique.
Le directeur de cabinet-adjoint, Sylla Kalilou, représentant le ministre de l'Intégration africaine et des Ivoiriens de l'extérieur, a rappelé les efforts fournis par les autorités ivoiriennes en matière de lutte contre le paludisme.
"En Côte d'Ivoire, les autorités ont mis en place des dispositifs pour réduire le paludisme. Il s'agit entre autres de la distribution de 15 millions de moustiquaires imprégnées aux ménages, de la dotation de tous les centres de santé publics de milliers d'hémoglobines mètres", a souligné M. Sylla..
Aussi, a-t-il engagé la Côte d'Ivoire à utiliser d'autres moyens de lutte à savoir les bio-larvicides en signant un protocole d'accord relatif au financement, à la conception, à la construction et à l'exploitation de l'usine de bio larvicides de la Cote d'Ivoire.
ko/aaa/fmo
Réunis mardi à Grand-Bassam, plusieurs experts venus du Bénin, du Burkina Faso, du Mali, du Ghana, de la Guinée Bissau, du Niger, du Nigeria, du Sénégal et du Togo ont partagé leurs expériences et engagé les actions des pays de l'Afrique de l'ouest dans la perspective de l'utilisation des bio larvicides dans la lutte contre le paludisme.
Il s'est agi de contribuer à la reprise du processus de construction d'usines de bio larvicides en Afrique de l'ouest, de partager leurs expériences et de s'informer sur l'état d'avancement du projet en Côte d'Ivoire. Pour le représentant de l'Organisation ouest africaine de la santé (OOAS-CEDEAO), Dr Kouakou Kouamé Alphonse, la reprise du projet de construction de l'usine de bio larvicides est nécessaire car en Afrique, le paludisme est un problème de santé publique.
Pour preuve, a-t-il indiqué, sur 219 millions de cas de paludisme enregistrés dans 87 pays, en 2017, 92% des cas et 93% des décès dus à cette maladie sont survenus en Afrique.
Le directeur de cabinet-adjoint, Sylla Kalilou, représentant le ministre de l'Intégration africaine et des Ivoiriens de l'extérieur, a rappelé les efforts fournis par les autorités ivoiriennes en matière de lutte contre le paludisme.
"En Côte d'Ivoire, les autorités ont mis en place des dispositifs pour réduire le paludisme. Il s'agit entre autres de la distribution de 15 millions de moustiquaires imprégnées aux ménages, de la dotation de tous les centres de santé publics de milliers d'hémoglobines mètres", a souligné M. Sylla..
Aussi, a-t-il engagé la Côte d'Ivoire à utiliser d'autres moyens de lutte à savoir les bio-larvicides en signant un protocole d'accord relatif au financement, à la conception, à la construction et à l'exploitation de l'usine de bio larvicides de la Cote d'Ivoire.
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