Yamoussoukro –Un responsable de l’ONG internationale Save the children, Dr Manassé Kassi, s’est félicité, jeudi, à Yamoussoukro de la « bonne tenue » du programme national de lutte contre le paludisme qui vise à réduire la mortalité et la morbidité liées à cette maladie et dont son organisation assure le volet communautaire.
A la faveur de la réunion semestrielle de coordination, le directeur du projet fonds mondial paludisme volet communautaire de Save the children, a affirmé que «dans le cadre du contrôle du paludisme en Côte d’Ivoire et grâce aux actions qui sont menées au niveau communautaire, nous contribuons à fixer la maladie, à la contrôler un peu mieux, à réduire le nombre de décès grâce aux actions de prise en charge qui sont réalisées dans les communautés par ceux qu’on appelle les agents de santé communautaire ».
Cette rencontre réunit près de 80 participants notamment les partenaires de mise en œuvre de Save The Children dans le cadre du projet de lutte contre le paludisme, la composante étatique et la société civile. Elle a pour but de faire le point de la mise en œuvre des activités tout au long de l’année 2019 et aborder sereinement 2020.
En Côte d’Ivoire, pour adresser la problématique du paludisme, le fonds mondial a sélectionné le programme national de lutte contre le paludisme donc le ministère de la santé qui est en charge de la composante publique et Save the Children pour la composante communautaire.
« Il faut que la symbiose soit parfaite afin que les objectifs qu’on s’est fixés ensemble soient atteints. Il faut qu’on travaille dans l’efficacité parce que les responsables de la santé sont là à l’écoute du personnel mais aussi à l’écoute de la communauté », a affirmé le directeur régional de la santé et de l’hygiène publique du Bélier, Dr Miézan Egnakou.
« Parce que la réussite ne va pas dépendre que du personnel de santé. La bonne gestion par la communauté va permettre d’atteindre les objectifs qui sont fixés au niveau pays. Il faut qu’on soit ensemble pour adresser les difficultés et trouver le meilleur moyen de les régler », a-t-il souligné.
gso/fmo
A la faveur de la réunion semestrielle de coordination, le directeur du projet fonds mondial paludisme volet communautaire de Save the children, a affirmé que «dans le cadre du contrôle du paludisme en Côte d’Ivoire et grâce aux actions qui sont menées au niveau communautaire, nous contribuons à fixer la maladie, à la contrôler un peu mieux, à réduire le nombre de décès grâce aux actions de prise en charge qui sont réalisées dans les communautés par ceux qu’on appelle les agents de santé communautaire ».
Cette rencontre réunit près de 80 participants notamment les partenaires de mise en œuvre de Save The Children dans le cadre du projet de lutte contre le paludisme, la composante étatique et la société civile. Elle a pour but de faire le point de la mise en œuvre des activités tout au long de l’année 2019 et aborder sereinement 2020.
En Côte d’Ivoire, pour adresser la problématique du paludisme, le fonds mondial a sélectionné le programme national de lutte contre le paludisme donc le ministère de la santé qui est en charge de la composante publique et Save the Children pour la composante communautaire.
« Il faut que la symbiose soit parfaite afin que les objectifs qu’on s’est fixés ensemble soient atteints. Il faut qu’on travaille dans l’efficacité parce que les responsables de la santé sont là à l’écoute du personnel mais aussi à l’écoute de la communauté », a affirmé le directeur régional de la santé et de l’hygiène publique du Bélier, Dr Miézan Egnakou.
« Parce que la réussite ne va pas dépendre que du personnel de santé. La bonne gestion par la communauté va permettre d’atteindre les objectifs qui sont fixés au niveau pays. Il faut qu’on soit ensemble pour adresser les difficultés et trouver le meilleur moyen de les régler », a-t-il souligné.
gso/fmo
