La douzième session du club de mobilité, initiée par Acturoutes, s’est tenue ce jeudi 12 décembre, à Abidjan, avec pour thème : « quels bénéfices pour la Côte d’Ivoire après le 26ème congrès mondial de la route ? ».
De retour de ce congrès qui a eu lieu à Abou Dhabi du 06 au 10 octobre 2019, les panélistes conviés par Acturoutes, ont fait le bilan de ces assises. Selon eux, La Côte d’Ivoire y était avec les acteurs mondiaux pour sacrifier à cette tradition vieille de 100 ans.
‘’Cette édition a été marquée par l’affluence de 6000 congressistes venus de 120 pays avec la participation des institutions internationales dont la Banque Mondiale et l’OMS (Organisation mondiale de la santé)’’.
Selon Ibrahim Koné, DG de Quipux, les approches de gestion de la route qui ont été exposées dépendaient de l’écosystème de chaque pays participant. Il a souligné l’importance de la ‘’data’’ (données) pour faire face au défi de gouvernance du secteur de la route. ‘’ L’une de nos missions, c’est la mise en place d’une base de données des acteurs du transports et de la route’’, a-t-il fait savoir.
Le représentant du BNTED, Fouad Safer, a ajouté que les politiques de subvention de financement et les défis de la sécurité de toutes, ont été abordées au cours de ce congrès mondial de la route. Cette édition du club de mobilité a permis à l’assistance d’interagir sur des questions liées à l’état des lieux, la sécurité, l’éducation et la formation des usagers et la route intelligente.
Le parrain de cette rencontre et panéliste principal, Colonel des Douanes, Bahié Benoit Severin, a indiqué que les véhicules intelligents sont mieux et la route intelligente s’impose aux pays qui se veulent émergents, mais avoir des usagers intelligents est un préalable.
Il en a profité pour insister sur l’éducation et la formation qui sont indispensable à la sécurité routière et la règle de courtoisie qui est en une règle principale.
Selon lui, il faut des actions concertées entre l’Etat, le secteur privé, soutenues par des innovations technologiques pour parvenir à l’émergence de routes intelligentes. « Sans la route, la mobilité est réduite », a-t-il déclaré.
JOB
De retour de ce congrès qui a eu lieu à Abou Dhabi du 06 au 10 octobre 2019, les panélistes conviés par Acturoutes, ont fait le bilan de ces assises. Selon eux, La Côte d’Ivoire y était avec les acteurs mondiaux pour sacrifier à cette tradition vieille de 100 ans.
‘’Cette édition a été marquée par l’affluence de 6000 congressistes venus de 120 pays avec la participation des institutions internationales dont la Banque Mondiale et l’OMS (Organisation mondiale de la santé)’’.
Selon Ibrahim Koné, DG de Quipux, les approches de gestion de la route qui ont été exposées dépendaient de l’écosystème de chaque pays participant. Il a souligné l’importance de la ‘’data’’ (données) pour faire face au défi de gouvernance du secteur de la route. ‘’ L’une de nos missions, c’est la mise en place d’une base de données des acteurs du transports et de la route’’, a-t-il fait savoir.
Le représentant du BNTED, Fouad Safer, a ajouté que les politiques de subvention de financement et les défis de la sécurité de toutes, ont été abordées au cours de ce congrès mondial de la route. Cette édition du club de mobilité a permis à l’assistance d’interagir sur des questions liées à l’état des lieux, la sécurité, l’éducation et la formation des usagers et la route intelligente.
Le parrain de cette rencontre et panéliste principal, Colonel des Douanes, Bahié Benoit Severin, a indiqué que les véhicules intelligents sont mieux et la route intelligente s’impose aux pays qui se veulent émergents, mais avoir des usagers intelligents est un préalable.
Il en a profité pour insister sur l’éducation et la formation qui sont indispensable à la sécurité routière et la règle de courtoisie qui est en une règle principale.
Selon lui, il faut des actions concertées entre l’Etat, le secteur privé, soutenues par des innovations technologiques pour parvenir à l’émergence de routes intelligentes. « Sans la route, la mobilité est réduite », a-t-il déclaré.
JOB