Yamoussoukro– Le vice-président de la société de gynécologie et d’obstétrique de Côte d’Ivoire (SOGOCI), Pr Guié Privat a procédé vendredi à l’installation officielle du médecin gynécologue du CHR de Yamoussoukro, Dr N’doli Yao N’guessan Rodolphe en qualité de point focal de cette organisation savante pour les régions du Bélier, du N’zi et le district autonome de Yamoussoukro.
La SOGOCI regroupe environ 440 gynécologues et obstétriciens et 3000 sages-femmes sur l’ensemble du territoire ivoirien avec pour mission principale d’œuvrer à la qualité des soins et améliorer les indicateurs en matière de santé de la reproduction en Côte d’Ivoire.
L’installation de cette section, la cinquième de la SOGOCI, a pour but de rapprocher l’organisation de ses membres, faciliter la sensibilisation de ces derniers de même que le renforcement de leurs capacités par région sanitaire tout en menant des actions de santé publique pour les populations.
« Chers collègues, collaborateurs et acteurs de la santé, avec un engagement, une détermination et une conscience professionnelle plus élevée, nous améliorerons la qualité des soins et ainsi les indicateurs de la santé de la reproduction dans ces deux régions, le Bélier et le N’zi », a déclaré le vice-président de la SOGOCI.
Le point focal nouvellement installé a promis au nom de son équipe de contribuer fortement à la réduction de taux de mortalité maternelle et néonatale dans sa sphère de compétence.
«Généralement les autres centres nous apportent leurs malades qui arrivent dans des états très graves au CHR. On va donc sensibiliser les sages-femmes et les médecins d’évacuer à temps. Il ne faut pas attendre des difficultés énormes avant d’évacuer », a indiqué Dr N’doli.
Partenaire technique de premier plan du ministère de la santé et de l’hygiène pour la mise en œuvre des politiques liées à la santé de la reproduction la SOGOCI entend installer une dizaine de sections à travers le pays en vue d’être efficace auprès du gouvernement dans la lutte pour la réduction de la mortalité maternelle et néonatale.
Le gouvernement ivoirien a adopté en avril en conseil des ministres un dossier d’investissement de 1,6 milliard de F CFA sur la période 2020 à 2024 afin de réduire le ratio de mortalité maternelle et le taux de mortalité infanto-juvénile, rappelle-t-on.
gso/kam
La SOGOCI regroupe environ 440 gynécologues et obstétriciens et 3000 sages-femmes sur l’ensemble du territoire ivoirien avec pour mission principale d’œuvrer à la qualité des soins et améliorer les indicateurs en matière de santé de la reproduction en Côte d’Ivoire.
L’installation de cette section, la cinquième de la SOGOCI, a pour but de rapprocher l’organisation de ses membres, faciliter la sensibilisation de ces derniers de même que le renforcement de leurs capacités par région sanitaire tout en menant des actions de santé publique pour les populations.
« Chers collègues, collaborateurs et acteurs de la santé, avec un engagement, une détermination et une conscience professionnelle plus élevée, nous améliorerons la qualité des soins et ainsi les indicateurs de la santé de la reproduction dans ces deux régions, le Bélier et le N’zi », a déclaré le vice-président de la SOGOCI.
Le point focal nouvellement installé a promis au nom de son équipe de contribuer fortement à la réduction de taux de mortalité maternelle et néonatale dans sa sphère de compétence.
«Généralement les autres centres nous apportent leurs malades qui arrivent dans des états très graves au CHR. On va donc sensibiliser les sages-femmes et les médecins d’évacuer à temps. Il ne faut pas attendre des difficultés énormes avant d’évacuer », a indiqué Dr N’doli.
Partenaire technique de premier plan du ministère de la santé et de l’hygiène pour la mise en œuvre des politiques liées à la santé de la reproduction la SOGOCI entend installer une dizaine de sections à travers le pays en vue d’être efficace auprès du gouvernement dans la lutte pour la réduction de la mortalité maternelle et néonatale.
Le gouvernement ivoirien a adopté en avril en conseil des ministres un dossier d’investissement de 1,6 milliard de F CFA sur la période 2020 à 2024 afin de réduire le ratio de mortalité maternelle et le taux de mortalité infanto-juvénile, rappelle-t-on.
gso/kam