Korhogo, Un groupe de femmes du quartier Koko de Korhogo a été appelée à espacer les naissances lors d’une séance de sensibilisation à la procréation responsable initiée dimanche par l’Alliance des religieux pour la santé intégrale et la promotion de la personne humaine (ARSIP).
« Il s’agit d’une sensibilisation intergénérationnelle », a confié à l’AIP la chargée – programme de l’ARSIP, Koffi Ama Nouratou, expliquant que cette approche consiste à regrouper des femmes âgées et des moins âgées pour leur adresser le même message en même temps.
A travers ce type de regroupent, l’ARSIP espère créer les conditions d’une communication décomplexée entre les « mamans » et les jeunes filles et, surtout, que les mamans parviendront à influencer positivement le comportement des jeunes filles qui constituent la cible principale, a expliqué Mme Koffi.
Selon la présidente de l’association des femmes du quartier, Aima Soro, « beaucoup de cas de grossesses rapprochés » y sont constatés. Elles ont pour conséquences les abondons scolaires et l’impossibilité d’exercer quelque activité génératrice de revenue, a-t-elle déploré.
La procréation responsable consiste à pouvoir espacer les grossesses d’au moins deux et à se référer à un centre de santé pour l’adoption d’une méthode contraceptive, a expliqué Mme Koffi à l’AIP.
Sa promotion par l’ARSIP se situe dans le cadre du projet d’Autonomisation des femmes et du dividende démographique au Sahel (SWEDD, Sahel women’s empowerment and demographic dividend), initié conjointement par les Nations Unis et la Banque mondiale dans six pays dont la Côte d’Ivoire en novembre 2015.
L’ARSIP exécute le volet genre de ce programme. Son rôle est de « donner des compétences de vie » à la femme et à la jeune fille en vue de faciliter son intégration sociale par l’exercice d’un emploi salarié ou d’une activité génératrice de revenue, a confié Mme Koffi.
(AIP)
kaem/tm
« Il s’agit d’une sensibilisation intergénérationnelle », a confié à l’AIP la chargée – programme de l’ARSIP, Koffi Ama Nouratou, expliquant que cette approche consiste à regrouper des femmes âgées et des moins âgées pour leur adresser le même message en même temps.
A travers ce type de regroupent, l’ARSIP espère créer les conditions d’une communication décomplexée entre les « mamans » et les jeunes filles et, surtout, que les mamans parviendront à influencer positivement le comportement des jeunes filles qui constituent la cible principale, a expliqué Mme Koffi.
Selon la présidente de l’association des femmes du quartier, Aima Soro, « beaucoup de cas de grossesses rapprochés » y sont constatés. Elles ont pour conséquences les abondons scolaires et l’impossibilité d’exercer quelque activité génératrice de revenue, a-t-elle déploré.
La procréation responsable consiste à pouvoir espacer les grossesses d’au moins deux et à se référer à un centre de santé pour l’adoption d’une méthode contraceptive, a expliqué Mme Koffi à l’AIP.
Sa promotion par l’ARSIP se situe dans le cadre du projet d’Autonomisation des femmes et du dividende démographique au Sahel (SWEDD, Sahel women’s empowerment and demographic dividend), initié conjointement par les Nations Unis et la Banque mondiale dans six pays dont la Côte d’Ivoire en novembre 2015.
L’ARSIP exécute le volet genre de ce programme. Son rôle est de « donner des compétences de vie » à la femme et à la jeune fille en vue de faciliter son intégration sociale par l’exercice d’un emploi salarié ou d’une activité génératrice de revenue, a confié Mme Koffi.
(AIP)
kaem/tm