Le Ministre du Commerce et de l’Industrie, Souleymane Diarrassouba, a présidé le lundi 2 mars 2020, la cérémonie d’ouverture du 3e Forum d’affaires Inde-Côte d’Ivoire, à la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, au Plateau. A l’occasion, il a rappelé les opportunités d’affaires en Côte d’Ivoire. « Les opportunités d’affaires en Côte d’Ivoire sont nombreuses, et ce, dans tous les secteurs d’activités, grâce à la vision du Président Alassane Ouattara », a-t-il indiqué.
Ainsi, au niveau de l’agro-industrie, il s’agit de rehausser significativement, avec l’appui du secteur privé, les niveaux de transformation des produits agricoles, notamment l’anacarde, le cacao, le café, le coton, le caoutchouc, les fruits et légumes, etc. et d’atteindre, à court et moyen termes, des taux de transformation allant de 25% à 50% selon les filières.
Pour ce qui concerne les industries manufacturières non agricoles, il s’agit de développer les industries structurantes portant sur la métallurgie et l’aciérie, la chimie ; les produits de grande consommation pour la demande régionale en textile, emballages, plasturgie et médicaments ; les industries manufacturières légères, avec les industries de montage et d’assemblage, en particulier l’industrie automobile et la fabrication d’équipements.
Pour soutenir le développement industriel, le Ministre Souleymane Diarrassouba a évoqué le potentiel en matière de développement des infrastructures économiques en Côte d’Ivoire. Il s’agit notamment des routes, du chemin de fer, les aéroports, les ports, les plateformes, le matériel de transport, les équipements de stockage et de conservation ; les centrales thermiques, les barrages hydroélectriques et les panneaux solaires, pour les questions liées à l’énergie. A cela s’ajoutent les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC), avec le développement du numérique, de la robotique et de l’intelligence artificielle pour soutenir notamment l’industrie 4.0 et le commerce électronique et enfin, les zones industrielles à Abidjan et à l’intérieur du pays.
« En matière développement des échanges, la promotion du commerce électronique se présente comme une opportunité pour booster les relations entre l’Inde et la Côte d’Ivoire. Le Gouvernement encourage le développement de partenariats gagnant-gagnant avec le secteur privé ivoirien et le transfert de technologie, ainsi que la mobilisation d’instruments de financement compétitif permettant de promouvoir les investissements et les IDE entre nos deux pays », a ajouté le Ministre du Commerce et de l’Industrie.
Poursuivant, il a soutenu qu’investir en Côte d’Ivoire, c’est avoir comme marchés la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), avec environ 350 millions de consommateurs et une classe moyenne émergente ; les Etats-Unis d’Amérique (USA), à travers l’AGOA ; l’Union Européenne (UE), par le biais des Accords de Partenariat Economique (APE) ; l’Union Africaine (UA), avec 1,3 milliard de consommateurs, par le biais de la Zone de Libre Echange Continental Africaine (ZLECAf) qui est en cours de mise en œuvre.
Rappelant que ce Forum s’inscrit, dans le cadre des actions du Gouvernement du Premier ministre Amadou Gon Coulibaly pour promouvoir le développement du secteur privé en Côte d’Ivoire, en vue de la réalisation d’investissements massifs, capables de générer une croissance économique forte, soutenue et durable pour accélérer la transformation structurelle de l’économie ivoirienne, il s’est félicité que l’Inde demeure un partenaire économique important de la Côte d’Ivoire.
« En effet, selon les statistiques du commerce extérieur, en 2018, les échanges commerciaux entre nos deux pays ont atteint 569 milliards de FCFA contre 457 milliards de FCFA en 2017, soit une hausse de 24,5%. L’Inde était le 8ème client et le 4ème fournisseur de la Côte d’Ivoire en 2018. En ouvrant une Chambre de Commerce et d’Industrie en Côte d’Ivoire, l’Inde marque une présence significative de son secteur privé en Côte d’Ivoire et ambitionne de doubler ses échanges commerciaux avec notre pays », a-t-il fait remarquer.
A.N
Ainsi, au niveau de l’agro-industrie, il s’agit de rehausser significativement, avec l’appui du secteur privé, les niveaux de transformation des produits agricoles, notamment l’anacarde, le cacao, le café, le coton, le caoutchouc, les fruits et légumes, etc. et d’atteindre, à court et moyen termes, des taux de transformation allant de 25% à 50% selon les filières.
Pour ce qui concerne les industries manufacturières non agricoles, il s’agit de développer les industries structurantes portant sur la métallurgie et l’aciérie, la chimie ; les produits de grande consommation pour la demande régionale en textile, emballages, plasturgie et médicaments ; les industries manufacturières légères, avec les industries de montage et d’assemblage, en particulier l’industrie automobile et la fabrication d’équipements.
Pour soutenir le développement industriel, le Ministre Souleymane Diarrassouba a évoqué le potentiel en matière de développement des infrastructures économiques en Côte d’Ivoire. Il s’agit notamment des routes, du chemin de fer, les aéroports, les ports, les plateformes, le matériel de transport, les équipements de stockage et de conservation ; les centrales thermiques, les barrages hydroélectriques et les panneaux solaires, pour les questions liées à l’énergie. A cela s’ajoutent les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC), avec le développement du numérique, de la robotique et de l’intelligence artificielle pour soutenir notamment l’industrie 4.0 et le commerce électronique et enfin, les zones industrielles à Abidjan et à l’intérieur du pays.
« En matière développement des échanges, la promotion du commerce électronique se présente comme une opportunité pour booster les relations entre l’Inde et la Côte d’Ivoire. Le Gouvernement encourage le développement de partenariats gagnant-gagnant avec le secteur privé ivoirien et le transfert de technologie, ainsi que la mobilisation d’instruments de financement compétitif permettant de promouvoir les investissements et les IDE entre nos deux pays », a ajouté le Ministre du Commerce et de l’Industrie.
Poursuivant, il a soutenu qu’investir en Côte d’Ivoire, c’est avoir comme marchés la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), avec environ 350 millions de consommateurs et une classe moyenne émergente ; les Etats-Unis d’Amérique (USA), à travers l’AGOA ; l’Union Européenne (UE), par le biais des Accords de Partenariat Economique (APE) ; l’Union Africaine (UA), avec 1,3 milliard de consommateurs, par le biais de la Zone de Libre Echange Continental Africaine (ZLECAf) qui est en cours de mise en œuvre.
Rappelant que ce Forum s’inscrit, dans le cadre des actions du Gouvernement du Premier ministre Amadou Gon Coulibaly pour promouvoir le développement du secteur privé en Côte d’Ivoire, en vue de la réalisation d’investissements massifs, capables de générer une croissance économique forte, soutenue et durable pour accélérer la transformation structurelle de l’économie ivoirienne, il s’est félicité que l’Inde demeure un partenaire économique important de la Côte d’Ivoire.
« En effet, selon les statistiques du commerce extérieur, en 2018, les échanges commerciaux entre nos deux pays ont atteint 569 milliards de FCFA contre 457 milliards de FCFA en 2017, soit une hausse de 24,5%. L’Inde était le 8ème client et le 4ème fournisseur de la Côte d’Ivoire en 2018. En ouvrant une Chambre de Commerce et d’Industrie en Côte d’Ivoire, l’Inde marque une présence significative de son secteur privé en Côte d’Ivoire et ambitionne de doubler ses échanges commerciaux avec notre pays », a-t-il fait remarquer.
A.N