Le Ministre du Commerce et de l’Industrie, Souleymane Diarrassouba, a lu la déclaration du Gouvernement, à l’occasion de la Journée Mondiale de l’Accréditation, le mardi 9 juin 2020. Il a alors rappelé l’importance de cet outil pour les organismes d’évaluation de la conformité (OEC) et pour les entreprises. « L’accréditation constitue un outil indispensable non seulement pour les organismes d’évaluation de la conformité mais aussi et surtout pour les entreprises en ce qu’elle leur permet d’être compétitives sur les marchés régionaux et internationaux », a-t-il indiqué.
Le thème choisi pour l’édition 2020 de la Journée Mondiale de l’Accréditation est : « Améliorer la sécurité sanitaire des aliments ». A travers ce thème, en effet, il s’agit de montrer l’importance de l’accréditation dans la mise à disposition des populations, des aliments sains et plus sûrs en vue de garantir la santé et leur bien-être. « Les défis à relever consistent à améliorer la sécurité sanitaire des aliments, à prouver que ceux-ci sont exempts de toute substance dangereuse (toxines, pesticides, produits avariés, etc.) et à renforcer la confiance des consommateurs, des fournisseurs et des prescripteurs dans la qualité », a fait remarquer le Ministre Souleymane Diarrassouba.
Il a poursuivi pour dire que l’accréditation se positionne comme une meilleure solution en intervenant sur l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement alimentaire pour créer des niveaux d'assurance pour des aliments sains, en passant par la production, la transformation et l'emballage, le stockage et le transport, jusqu'au commerce de détail et à la restauration.
Si au niveau de l’espace communautaire UEMOA le Système Ouest africain d’accréditation (SOAC) a vu le jour, le Gouvernement ivoirien s’est pleinement engagé dans son opérationnalisation, dès l’octroi du siège à la Côte d’Ivoire en septembre 2016. Ce qui se matérialise par plusieurs actions qui ont fortement contribué à l’atteinte des résultats satisfaisants enregistrés par cet organe sous régionale. A la clef, 18 laboratoires accrédités dont 9 laboratoires dans le domaine de la sécurité sanitaire des aliments.
Toujours en Côte d’Ivoire, Monsieur le Ministre a signifié que le Gouvernement a fait de l’accréditation une priorité, à travers la réalisation d’une série d’actions portant notamment sur l’adoption de la loi sur la normalisation et la promotion de la qualité en 2013 ; l’adoption de deux décrets d’application de la loi qui rendent obligatoire l’accréditation des OEC.
Faut-il le rappeler, l’accréditation est un acte de reconnaissance formelle de la compétence des Organismes d’évaluation de la conformité à réaliser des activités spécifiques d’évaluation de la conformité. Elle a pour but de rendre fiables les prestations et services fournis par les organismes accrédités et de procurer une confiance en la conformité des produits et services pour les acteurs économiques et les consommateurs.
Malheureusement, le Ministre du Commerce et de l’Industrie a regretté que la célébration de la Journée Mondiale de l’Accréditation intervient, cette année, dans un contexte particulier où l’humanité toute entière fait face à la pandémie de la COVID-19. « Dans ce contexte, l’accréditation des OEC revêt une importance toute particulière eu égard au rôle qu’ils jouent dans le processus de contrôle et d’inspection des produits utilisés dans la mise en œuvre des mesures barrières », a-t-il souligné.
Le thème choisi pour l’édition 2020 de la Journée Mondiale de l’Accréditation est : « Améliorer la sécurité sanitaire des aliments ». A travers ce thème, en effet, il s’agit de montrer l’importance de l’accréditation dans la mise à disposition des populations, des aliments sains et plus sûrs en vue de garantir la santé et leur bien-être. « Les défis à relever consistent à améliorer la sécurité sanitaire des aliments, à prouver que ceux-ci sont exempts de toute substance dangereuse (toxines, pesticides, produits avariés, etc.) et à renforcer la confiance des consommateurs, des fournisseurs et des prescripteurs dans la qualité », a fait remarquer le Ministre Souleymane Diarrassouba.
Il a poursuivi pour dire que l’accréditation se positionne comme une meilleure solution en intervenant sur l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement alimentaire pour créer des niveaux d'assurance pour des aliments sains, en passant par la production, la transformation et l'emballage, le stockage et le transport, jusqu'au commerce de détail et à la restauration.
Si au niveau de l’espace communautaire UEMOA le Système Ouest africain d’accréditation (SOAC) a vu le jour, le Gouvernement ivoirien s’est pleinement engagé dans son opérationnalisation, dès l’octroi du siège à la Côte d’Ivoire en septembre 2016. Ce qui se matérialise par plusieurs actions qui ont fortement contribué à l’atteinte des résultats satisfaisants enregistrés par cet organe sous régionale. A la clef, 18 laboratoires accrédités dont 9 laboratoires dans le domaine de la sécurité sanitaire des aliments.
Toujours en Côte d’Ivoire, Monsieur le Ministre a signifié que le Gouvernement a fait de l’accréditation une priorité, à travers la réalisation d’une série d’actions portant notamment sur l’adoption de la loi sur la normalisation et la promotion de la qualité en 2013 ; l’adoption de deux décrets d’application de la loi qui rendent obligatoire l’accréditation des OEC.
Faut-il le rappeler, l’accréditation est un acte de reconnaissance formelle de la compétence des Organismes d’évaluation de la conformité à réaliser des activités spécifiques d’évaluation de la conformité. Elle a pour but de rendre fiables les prestations et services fournis par les organismes accrédités et de procurer une confiance en la conformité des produits et services pour les acteurs économiques et les consommateurs.
Malheureusement, le Ministre du Commerce et de l’Industrie a regretté que la célébration de la Journée Mondiale de l’Accréditation intervient, cette année, dans un contexte particulier où l’humanité toute entière fait face à la pandémie de la COVID-19. « Dans ce contexte, l’accréditation des OEC revêt une importance toute particulière eu égard au rôle qu’ils jouent dans le processus de contrôle et d’inspection des produits utilisés dans la mise en œuvre des mesures barrières », a-t-il souligné.