« la Covid-19 face aux défis de la sécurité, de l’intégration et du développement transfrontalier dans l’espace CEDEAO », tel est le thème autour duquel s’est ouverte la journée africaine des frontières le mardi 09 juin 2020 à l’auditorium de la Primature, à Abidjan-Plateau.
Aux dires de Diakalidia Konaté, secrétaire exécutif de la Commission Nationale des Frontières de la Côte d’Ivoire (CNFCI), cette commémoration vise à informer et sensibiliser les acteurs frontaliers, les responsables de l’administration et le grand public sur plusieurs thématiques en lien avec la gestion des frontières, mais également à faire la promotion de la coopération transfrontalière auprès des acteurs des espaces transfrontaliers. Dans son discours d’ouverture, le secrétaire exécutif de CNFCI a indiqué que ces rencontres permettront de lever les tensions existantes à nos frontières afin de faire d’elles des espaces de paix, de sécurité et d’intégration pour un développement économique plus harmonieux.
Cette commémoration, centré sur un thème principal, a été marquée par quatre panels avec des thématiques animées par des experts. L’une des communications animées par Marina Schramm, cheffe de mission de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) en Côte d’Ivoire, lui a permis d’expliquer la mission de son institution en Côte d’Ivoire. Selon elle, dans cette crise sanitaire (Covid-19) qui a vu la fermeture des frontières, ce sont au moins 30 000 migrants qui « sont bloqués » dans la sous-région. Le commissaire de Police à la Direction de la surveillance du territoire, Soumahoro Daouda a pour sa part révélé les zones poreuses de nos frontières. Selon lui, beaucoup d’efforts sont faits afin de mettre fin aux trafics qui se font dans ces zones.
Instituée en 2010 par l’Union Africaine (UA), la Journée africaine des frontières est commémorée chaque année le 07 juin.
Cyprien K.
Aux dires de Diakalidia Konaté, secrétaire exécutif de la Commission Nationale des Frontières de la Côte d’Ivoire (CNFCI), cette commémoration vise à informer et sensibiliser les acteurs frontaliers, les responsables de l’administration et le grand public sur plusieurs thématiques en lien avec la gestion des frontières, mais également à faire la promotion de la coopération transfrontalière auprès des acteurs des espaces transfrontaliers. Dans son discours d’ouverture, le secrétaire exécutif de CNFCI a indiqué que ces rencontres permettront de lever les tensions existantes à nos frontières afin de faire d’elles des espaces de paix, de sécurité et d’intégration pour un développement économique plus harmonieux.
Cette commémoration, centré sur un thème principal, a été marquée par quatre panels avec des thématiques animées par des experts. L’une des communications animées par Marina Schramm, cheffe de mission de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) en Côte d’Ivoire, lui a permis d’expliquer la mission de son institution en Côte d’Ivoire. Selon elle, dans cette crise sanitaire (Covid-19) qui a vu la fermeture des frontières, ce sont au moins 30 000 migrants qui « sont bloqués » dans la sous-région. Le commissaire de Police à la Direction de la surveillance du territoire, Soumahoro Daouda a pour sa part révélé les zones poreuses de nos frontières. Selon lui, beaucoup d’efforts sont faits afin de mettre fin aux trafics qui se font dans ces zones.
Instituée en 2010 par l’Union Africaine (UA), la Journée africaine des frontières est commémorée chaque année le 07 juin.
Cyprien K.