Les parties belligérantes dans le conflit foncier survenu lundi à Séguéla ont convenu, aux cours de rencontres séparées à l’initiative du sous-préfet Nemlin Abel, d’un règlement pacifique du différend.
« On est entre frères et aujourd’hui nous sommes condamnés à vivre ensemble. En écoutant nos vieux, on accepte de ne plus utiliser la force. C’est la famille », s’est exprimé l’un des meneurs de la fronde au sein de la grande famille Bakayoko, Zoumana Bakayoko dit ‘’Zoumbak’’, lors de la rencontre avec les Bakayoko à la sous-préfecture, non sans pointer un doigt accusateur vers la mairie qui aurait procédé à un lotissement partiel du site litigieux.
Se disputant la propriété d’un terrain d’une dizaine d’hectare situé à quatre kilomètres entre le centre-ville et le village communal de Fizanigoro, des jeunes des deux entités en sont arrivés à une bagarre rangée.
« On est toujours apaisés. On est chez nous tranquilles. Pour nous, il n’y a pas de problème », a, pour sa part, déclaré Binaté Vassindou, le chef de village et président de la mutuelle de Fizanigoro, au cours de la rencontre avec la communauté dudit village.
En attendant la tenue prochaine d’une réunion avec le préfet Diarrassouba Karim, le sous-préfet Nemlin Abel, le premier adjoint au maire, Sindou Dosso, l’imam principal de la grande mosquée, El hadj Bakayoko Aboubacar, et le chef du village de Séguéla, Diomandé Nama, ont également appelé à l’apaisement.
(AIP)
kkp/ask
« On est entre frères et aujourd’hui nous sommes condamnés à vivre ensemble. En écoutant nos vieux, on accepte de ne plus utiliser la force. C’est la famille », s’est exprimé l’un des meneurs de la fronde au sein de la grande famille Bakayoko, Zoumana Bakayoko dit ‘’Zoumbak’’, lors de la rencontre avec les Bakayoko à la sous-préfecture, non sans pointer un doigt accusateur vers la mairie qui aurait procédé à un lotissement partiel du site litigieux.
Se disputant la propriété d’un terrain d’une dizaine d’hectare situé à quatre kilomètres entre le centre-ville et le village communal de Fizanigoro, des jeunes des deux entités en sont arrivés à une bagarre rangée.
« On est toujours apaisés. On est chez nous tranquilles. Pour nous, il n’y a pas de problème », a, pour sa part, déclaré Binaté Vassindou, le chef de village et président de la mutuelle de Fizanigoro, au cours de la rencontre avec la communauté dudit village.
En attendant la tenue prochaine d’une réunion avec le préfet Diarrassouba Karim, le sous-préfet Nemlin Abel, le premier adjoint au maire, Sindou Dosso, l’imam principal de la grande mosquée, El hadj Bakayoko Aboubacar, et le chef du village de Séguéla, Diomandé Nama, ont également appelé à l’apaisement.
(AIP)
kkp/ask