Le ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du Gouvernement Sidi Tiémoko Touré, s’est félicité, ce lundi 10 août, de la décision prise par le Chef de l’Etat de briguer son tout premier mandat sous la 3ème République. C’était face à la presse nationale et étrangère, lors ‘une d’une conférence, au cabinet, à l’immeuble Sciam, 8 étage.
Dans une approche pédagogique, le ministre de la Communication et des Médias, par ailleurs, porte-parole du gouvernement, a rappelé le cadre juridique qui justifie cette candidature. « Aussi, il me plaît d’indiquer que conformément à la constitution de 2016 instaurant la IIIe République, dont le peuple souverain de Côte d’Ivoire s’est librement doté, cette candidature du Président de la République sera la première de la IIIe République ». Sur le plan du droit, il a noté que cette candidature est donc « légale et conforme au principe fondamental de la non rétroactivité des lois. » il a indiqué aux nombreux journalistes présents que des cas de jurisprudence existent sur la question dans des pays de la sous-région ouest africaine.
Le ministre a insisté sur le fait que c’est à son corps défendant que le Président Alassane a accepté de répondre à l’appel de son peuple, car, il ne faudrait pas l’oublier, le Chef de l’Etat avait respecté sa parole en passant le flambeau à une nouvelle génération...
« Le Président de la République, dont les vertus d’homme d’Etat ne sont plus à démontrer, à plusieurs fois émis la volonté de transmettre le pouvoir d’Etat à une plus jeune génération. Cette ambition s’est concrétisée le 12 mars 2020 par la désignation du Premier Ministre Amadou Gon Coulibaly, comme candidat du Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP) à la présidentielle du 31 octobre 2020. Malheureusement, le 08 juillet 2020, l’irréparable s’est produit, avec la disparition de notre Chef d’équipe », a-t-il rappelé. Avant de noter que c’est à la suite de ce drame et de façon concertée, au regard des enjeux pour la Côte d’Ivoire et des perceptives qu’elle s’est tracée, « qu’une grande partie des Ivoiriens, dans leur diversité, ont sollicité le Chef de l’État pour un sacrifice supplémentaire pour la préservation des nombreux acquis ».
Au nombre de ces nombreux, le ministre a rappelé que le leadership éclairé du Chef de l’Etat a permis de repositionner, en neuf (09) ans de pouvoir, « la Côte d’Ivoire dans la dimension qui devrait être toujours la sienne Avec un taux de croissance moyen de huit (08) % par an sur la période concernée ».
Selon le conférencier, le Gouvernement s’est lancé dans des programmes ambitieux dont les résultats se traduisent entre autres par l’accroissement d’infrastructures communautaires de bases (écoles ; centres de santé ; eau potable ; électricité ; voiries ; couverture sociale ; etc.) dans l’ensemble des trente-et-une (31) régions du pays ; l’augmentation du pouvoir d’achat des populations avec la revalorisation du Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti (SMIG) et du traitement indiciaire du salaire des fonctionnaires, sans oublier l’amélioration nette des revenus des paysans. A cela il faut ajouter l’assainissement du climat des affaires pour le secteur privé favorable à l’investissement, ce qui a permis à des milliers de jeunes d’accéder à un emploi décent et par voie de conséquence, de s’offrir des perspectives sur tous les plans.
Tous ces acquis, à l’en croire, méritent d’être consolidés ; et le mieux placé pour cela en ce laps de temps est sans conteste le Président Ouattara.
Répondant aux préoccupations des journalistes concernant la recevabilité de la candidature du Chef de l’Etat, le ministre a invité les uns et les autres à ne pas entrer dans les spéculations. « La Cour Constitutionnelle va se prononcer », a-t-il couper court.
Dans une approche pédagogique, le ministre de la Communication et des Médias, par ailleurs, porte-parole du gouvernement, a rappelé le cadre juridique qui justifie cette candidature. « Aussi, il me plaît d’indiquer que conformément à la constitution de 2016 instaurant la IIIe République, dont le peuple souverain de Côte d’Ivoire s’est librement doté, cette candidature du Président de la République sera la première de la IIIe République ». Sur le plan du droit, il a noté que cette candidature est donc « légale et conforme au principe fondamental de la non rétroactivité des lois. » il a indiqué aux nombreux journalistes présents que des cas de jurisprudence existent sur la question dans des pays de la sous-région ouest africaine.
Le ministre a insisté sur le fait que c’est à son corps défendant que le Président Alassane a accepté de répondre à l’appel de son peuple, car, il ne faudrait pas l’oublier, le Chef de l’Etat avait respecté sa parole en passant le flambeau à une nouvelle génération...
« Le Président de la République, dont les vertus d’homme d’Etat ne sont plus à démontrer, à plusieurs fois émis la volonté de transmettre le pouvoir d’Etat à une plus jeune génération. Cette ambition s’est concrétisée le 12 mars 2020 par la désignation du Premier Ministre Amadou Gon Coulibaly, comme candidat du Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP) à la présidentielle du 31 octobre 2020. Malheureusement, le 08 juillet 2020, l’irréparable s’est produit, avec la disparition de notre Chef d’équipe », a-t-il rappelé. Avant de noter que c’est à la suite de ce drame et de façon concertée, au regard des enjeux pour la Côte d’Ivoire et des perceptives qu’elle s’est tracée, « qu’une grande partie des Ivoiriens, dans leur diversité, ont sollicité le Chef de l’État pour un sacrifice supplémentaire pour la préservation des nombreux acquis ».
Au nombre de ces nombreux, le ministre a rappelé que le leadership éclairé du Chef de l’Etat a permis de repositionner, en neuf (09) ans de pouvoir, « la Côte d’Ivoire dans la dimension qui devrait être toujours la sienne Avec un taux de croissance moyen de huit (08) % par an sur la période concernée ».
Selon le conférencier, le Gouvernement s’est lancé dans des programmes ambitieux dont les résultats se traduisent entre autres par l’accroissement d’infrastructures communautaires de bases (écoles ; centres de santé ; eau potable ; électricité ; voiries ; couverture sociale ; etc.) dans l’ensemble des trente-et-une (31) régions du pays ; l’augmentation du pouvoir d’achat des populations avec la revalorisation du Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti (SMIG) et du traitement indiciaire du salaire des fonctionnaires, sans oublier l’amélioration nette des revenus des paysans. A cela il faut ajouter l’assainissement du climat des affaires pour le secteur privé favorable à l’investissement, ce qui a permis à des milliers de jeunes d’accéder à un emploi décent et par voie de conséquence, de s’offrir des perspectives sur tous les plans.
Tous ces acquis, à l’en croire, méritent d’être consolidés ; et le mieux placé pour cela en ce laps de temps est sans conteste le Président Ouattara.
Répondant aux préoccupations des journalistes concernant la recevabilité de la candidature du Chef de l’Etat, le ministre a invité les uns et les autres à ne pas entrer dans les spéculations. « La Cour Constitutionnelle va se prononcer », a-t-il couper court.