Yamoussoukro – Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Adama Diawara, a ouvert, le jeudi 27 août 2020, à Yamoussoukro, un séminaire regroupant les principaux animateurs de l’unité pédagogique de l’université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan en vue de proposer une réforme de ses départements et doter ainsi les unités de formation et de recherches d’un cadre adéquat et homogène.
Il s’agira, au cours de cette rencontre d’experts, de tirer les leçons de l’expérience LMD en Côte d’Ivoire et de réorienter son fonctionnement dans l’optique d’une meilleure implantation et ainsi lui permettre de répondre aux exigences de la mondialisation au sens large.
« On a des départements qui seront créés là où il n’y en a pas et là il y en a déjà, on va repréciser les conditions de fonctionnement de telle sorte que les enseignements soient mieux organisés », a indiqué M. Diawara, tout en rappelant qu’à l’avènement du système Licence, mater-doctorat (LMD) en Côte d’Ivoire beaucoup de départements avaient déjà été supprimés.
Selon son président, Prof Abou Karamoko, l’université Félix Houphouët-Boigny « a trop de départements et de façon désorganisée » et il s’agira de recadrer les choses pour faire « une économie de savoirs mais aussi une économie du point de vue du financement ».
Il a toutefois soutenu qu’il ne sera point question de supprimer des enseignements mais bien de procéder à un regroupement selon les centres d’intérêt.
Les fruits des réflexions pour une université Houphouët-Boigny d’Abidjan plus conforme aux besoins pédagogiques des enseignants et étudiants et respectant les exigences de bonne gouvernance seront connus au terme des travaux en ateliers et en plénières prévus pour s’achever samedi.
gso/fmo
Il s’agira, au cours de cette rencontre d’experts, de tirer les leçons de l’expérience LMD en Côte d’Ivoire et de réorienter son fonctionnement dans l’optique d’une meilleure implantation et ainsi lui permettre de répondre aux exigences de la mondialisation au sens large.
« On a des départements qui seront créés là où il n’y en a pas et là il y en a déjà, on va repréciser les conditions de fonctionnement de telle sorte que les enseignements soient mieux organisés », a indiqué M. Diawara, tout en rappelant qu’à l’avènement du système Licence, mater-doctorat (LMD) en Côte d’Ivoire beaucoup de départements avaient déjà été supprimés.
Selon son président, Prof Abou Karamoko, l’université Félix Houphouët-Boigny « a trop de départements et de façon désorganisée » et il s’agira de recadrer les choses pour faire « une économie de savoirs mais aussi une économie du point de vue du financement ».
Il a toutefois soutenu qu’il ne sera point question de supprimer des enseignements mais bien de procéder à un regroupement selon les centres d’intérêt.
Les fruits des réflexions pour une université Houphouët-Boigny d’Abidjan plus conforme aux besoins pédagogiques des enseignants et étudiants et respectant les exigences de bonne gouvernance seront connus au terme des travaux en ateliers et en plénières prévus pour s’achever samedi.
gso/fmo
