Répondant au projet d’Assainissement et du Grand ménage lancé par le Ministère de l’Assainissement et de la Salubrité(MINAS), toutes les communes du district d’Abidjan ont lancé les opérations de déguerpissement.
A l’effet, le déguerpissement est une action qui vise à libérer les emprises des ouvrages publics occupés par des commerces ou des constructions anarchiques. Mais aussi assainir les trottoirs aux fins de rendre fluide les circulations. Cette action répond également pour les autorités municipales aux besoins d’offrir aux populations un cadre sain et un mieux vivre.
Après la phase expérimentale au mois de juillet 2019 à la gare de Bassam qui s’est soldé par un succès malgré quelques récalcitrants qui tentent de reconquérir vainement les espaces déguerpis, la mairie a lancé la phase opérationnelle et effective de ce déguerpissement courant le mois de juillet 2020 à l’avenue 1 et 2 rue 1 et 2 de manière progressive avec veille sur la non reconquête des sites libérés.
Cette opération n’a épargné aucun commerce et autres activités occupant illégalement les trottoirs, les constructions anarchiques. Le complexe de restaurants dénommés « ONU » qui jouxte la mairie n’a pas été épargné par cette opération d’envergure.
Les occupants de cet espace qui crient au désarroi n’ont d’autres voies que le recours à la négociation avec les Autorités pour obtenir leur clémence pour le maintien de leur espace de restauration.
Plusieurs femmes tenancières de restaurants sur cet espace rencontrées déclarent qu’elles sont parfaitement d’avis avec la mairie dans ces actions de libération des emprises d’ouvrages publics car il y va évidemment d’aérer leur espace de restauration.
«Nous, Restauratrices de l’espace « ONU » sommes regroupées en Association légalement constituée. Nous comptons rencontrer le Ministre François Albert AMICHIA, Maire de la commune pour échanger avec lui et connaître ses aspirations pour notre espace.
Je ne dévoile pas d’actions ici ; mais les femmes de l’ONU vont bientôt entreprendre des travaux d’embellissement de grandes envergures sur ce grand couloir et ravaler la façade de tous les boxes. Les situations économiques sont extrêmement difficiles aujourd’hui au point que les femmes se battent aux côtés de leurs époux pour soutenir la famille.
Nous supplions et demandons au Ministre François AMICHIA, qui a su toujours écouter sa population la grâce pour maintien de cet espace qui a une histoire dans cette cité cosmopolite» a dit madame Nouanma Miézan Mamy, tenancière de restaurant dans le complexe.
Selon le sous/directeur des Etudes et de la planification, Monsieur Lacina SANOGO, dans le plan d’action de l’opération de déguerpissement, il n’est pas question de la fermeture de cet espace plutôt la libération des emprises des ouvrages publics occupées de manière anarchique.
« Si d’aventure, pour assainir le cadre de la mairie sur ce front, les autorités municipales projettent de fermer cet espace bien évidemment une alternative suite à un consensus avec les exploitants de l’espace serait envisageable. Pour l’heure il n’en est pas question d’une quelconque action de fermeture » a-t- expliqué.
DIOMANDE Loua
A l’effet, le déguerpissement est une action qui vise à libérer les emprises des ouvrages publics occupés par des commerces ou des constructions anarchiques. Mais aussi assainir les trottoirs aux fins de rendre fluide les circulations. Cette action répond également pour les autorités municipales aux besoins d’offrir aux populations un cadre sain et un mieux vivre.
Après la phase expérimentale au mois de juillet 2019 à la gare de Bassam qui s’est soldé par un succès malgré quelques récalcitrants qui tentent de reconquérir vainement les espaces déguerpis, la mairie a lancé la phase opérationnelle et effective de ce déguerpissement courant le mois de juillet 2020 à l’avenue 1 et 2 rue 1 et 2 de manière progressive avec veille sur la non reconquête des sites libérés.
Cette opération n’a épargné aucun commerce et autres activités occupant illégalement les trottoirs, les constructions anarchiques. Le complexe de restaurants dénommés « ONU » qui jouxte la mairie n’a pas été épargné par cette opération d’envergure.
Les occupants de cet espace qui crient au désarroi n’ont d’autres voies que le recours à la négociation avec les Autorités pour obtenir leur clémence pour le maintien de leur espace de restauration.
Plusieurs femmes tenancières de restaurants sur cet espace rencontrées déclarent qu’elles sont parfaitement d’avis avec la mairie dans ces actions de libération des emprises d’ouvrages publics car il y va évidemment d’aérer leur espace de restauration.
«Nous, Restauratrices de l’espace « ONU » sommes regroupées en Association légalement constituée. Nous comptons rencontrer le Ministre François Albert AMICHIA, Maire de la commune pour échanger avec lui et connaître ses aspirations pour notre espace.
Je ne dévoile pas d’actions ici ; mais les femmes de l’ONU vont bientôt entreprendre des travaux d’embellissement de grandes envergures sur ce grand couloir et ravaler la façade de tous les boxes. Les situations économiques sont extrêmement difficiles aujourd’hui au point que les femmes se battent aux côtés de leurs époux pour soutenir la famille.
Nous supplions et demandons au Ministre François AMICHIA, qui a su toujours écouter sa population la grâce pour maintien de cet espace qui a une histoire dans cette cité cosmopolite» a dit madame Nouanma Miézan Mamy, tenancière de restaurant dans le complexe.
Selon le sous/directeur des Etudes et de la planification, Monsieur Lacina SANOGO, dans le plan d’action de l’opération de déguerpissement, il n’est pas question de la fermeture de cet espace plutôt la libération des emprises des ouvrages publics occupées de manière anarchique.
« Si d’aventure, pour assainir le cadre de la mairie sur ce front, les autorités municipales projettent de fermer cet espace bien évidemment une alternative suite à un consensus avec les exploitants de l’espace serait envisageable. Pour l’heure il n’en est pas question d’une quelconque action de fermeture » a-t- expliqué.
DIOMANDE Loua
