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La troisième édition du rassemblement des cadres du Lôh-Djiboua s’est ouverte ce jeudi 1er octobre 2020 à Abidjan-Plateau autour du thème : " Le flambeau et les cadres du Lôh-Djiboua engagés pour la prévention et le règlement pacifique des conflits en Côte d’Ivoire ".
Dans sa vision de travailler à faire reculer la pauvreté et l’ignorance dans la région du Lôh Djiboua, le président de l’ODAPCI, initiateur de cette rencontre, Me Zéhouri Bertin, a invité toute la communauté de cadres résidents à Abidjan, la diaspora, la jeunesse et les chefs coutumiers et guides religieux à regarder dans une même direction, celle du vivre-ensemble.
Pour lui en cette période électorale, il n’y a pas d’autres alternatives qui tiennent, si ce ne sont celles de la convivialité, de l’entente, du dialogue comme le socle de la résolution des conflits pour une paix sociale durable.
C’est pourquoi il a lancé un vibrant appel à toutes les communautés afin d’œuvrer pour le développement de la région. "L’objectif du Flambeau du développement a été de lancer un appel à l’implication de toutes les forces vives et les communautés de la région du Lôh Djiboua pour créer un levier de lutte contre l’ignorance et son corollaire de pauvreté dans les zones rurales" a-t-il soutenu. Car " c’est par l’union de toutes ses filles et fils que le Lôh-Djiboua parviendra à la valorisation de ses valeurs et traditions, mais surtout de ses ressources naturelles qui font de cette région un bastion du café-cacao et d’une pléthore de produits agricoles et miniers" ajoutera-t-il.
Répondant à cette invitation à la cohésion régionale et au développement du Lôh-Djiboua, élus locaux, guides religieux, chefs coutumiers ont promis lors de leurs interventions pendant cette cérémonie d’œuvrer pour la réconciliation des populations du Lôh-Djiboua pour le développement de cette partie de la Côte d’Ivoire.
Pour Me Zéhouri Bertin, l’ignorance est le mal qui entraîne à la pauvreté. Il suffit de se connaître, de se découvrir ou se redécouvrir en tant qu’une force agissante, capable de transformer le quotidien. Il suffit de croire que l’autre est une force d’addition et non une force de division. Et alors tout suivra. Car dira-t-il le développement n’est pas une vue d’esprit ou la multiplication de construction d’infrastructures, mais la construction de l’homme, du peuple, son éducation à connaître l’importance des infrastructures.
Cyprien K.
Dans sa vision de travailler à faire reculer la pauvreté et l’ignorance dans la région du Lôh Djiboua, le président de l’ODAPCI, initiateur de cette rencontre, Me Zéhouri Bertin, a invité toute la communauté de cadres résidents à Abidjan, la diaspora, la jeunesse et les chefs coutumiers et guides religieux à regarder dans une même direction, celle du vivre-ensemble.
Pour lui en cette période électorale, il n’y a pas d’autres alternatives qui tiennent, si ce ne sont celles de la convivialité, de l’entente, du dialogue comme le socle de la résolution des conflits pour une paix sociale durable.
C’est pourquoi il a lancé un vibrant appel à toutes les communautés afin d’œuvrer pour le développement de la région. "L’objectif du Flambeau du développement a été de lancer un appel à l’implication de toutes les forces vives et les communautés de la région du Lôh Djiboua pour créer un levier de lutte contre l’ignorance et son corollaire de pauvreté dans les zones rurales" a-t-il soutenu. Car " c’est par l’union de toutes ses filles et fils que le Lôh-Djiboua parviendra à la valorisation de ses valeurs et traditions, mais surtout de ses ressources naturelles qui font de cette région un bastion du café-cacao et d’une pléthore de produits agricoles et miniers" ajoutera-t-il.
Répondant à cette invitation à la cohésion régionale et au développement du Lôh-Djiboua, élus locaux, guides religieux, chefs coutumiers ont promis lors de leurs interventions pendant cette cérémonie d’œuvrer pour la réconciliation des populations du Lôh-Djiboua pour le développement de cette partie de la Côte d’Ivoire.
Pour Me Zéhouri Bertin, l’ignorance est le mal qui entraîne à la pauvreté. Il suffit de se connaître, de se découvrir ou se redécouvrir en tant qu’une force agissante, capable de transformer le quotidien. Il suffit de croire que l’autre est une force d’addition et non une force de division. Et alors tout suivra. Car dira-t-il le développement n’est pas une vue d’esprit ou la multiplication de construction d’infrastructures, mais la construction de l’homme, du peuple, son éducation à connaître l’importance des infrastructures.
Cyprien K.
