Grand-Lahou- Les usagers de l'axe Grand-Lahou-Fresco interpellent le gouvernement à poursuivre les travaux de réhabilitation de la voie menant jusqu'à San Pedro.
Koffi Antoine, conducteur de taxi a indiqué qu'il y a huit mois, une entreprise s'est installée dans le but de réhabiliter la voie. "L'entreprise a entièrement enlevé le bitume dans l'objectif de réhabiliter notre voie et depuis nous n'avons aucune nouvelle quant à la suite des travaux", a a confié M. Koffi.
C'est un calvaire aujourd'hui de parcourir 12 kilomètres de route en une heure de temps entre Grand-Lahou et Yocoboué .Pendant la saison sèche, la poussière occasionne de nombreux accidents mortels. En effet les véhicules poids lourds, les cars, les taxis brousses et les motos circulent difficilement en serpentant le tronçon afin d'éviter les grands creux, a indiqué un riverain dont la plantation se trouve en bordure de route.
Kra Anatole, planteur à Dopkpodon, a relevé que toute la zone est grande productrice de cacao, de café, d'hévéa de palmier à huile et de vivriers. "Les transporteurs refusent de se rendre ici afin de nous aider à évacuer nos productions", a-t-il relevé avec beaucoup de tristesse.
rk/fmo
Koffi Antoine, conducteur de taxi a indiqué qu'il y a huit mois, une entreprise s'est installée dans le but de réhabiliter la voie. "L'entreprise a entièrement enlevé le bitume dans l'objectif de réhabiliter notre voie et depuis nous n'avons aucune nouvelle quant à la suite des travaux", a a confié M. Koffi.
C'est un calvaire aujourd'hui de parcourir 12 kilomètres de route en une heure de temps entre Grand-Lahou et Yocoboué .Pendant la saison sèche, la poussière occasionne de nombreux accidents mortels. En effet les véhicules poids lourds, les cars, les taxis brousses et les motos circulent difficilement en serpentant le tronçon afin d'éviter les grands creux, a indiqué un riverain dont la plantation se trouve en bordure de route.
Kra Anatole, planteur à Dopkpodon, a relevé que toute la zone est grande productrice de cacao, de café, d'hévéa de palmier à huile et de vivriers. "Les transporteurs refusent de se rendre ici afin de nous aider à évacuer nos productions", a-t-il relevé avec beaucoup de tristesse.
rk/fmo