La journée internationale des Coopératives s’est ouverte ce jeudi 03 décembre 2020 à Abidjan autour du thème " Les Coopératives pour l’action climatique". L’objectif de cette édition est de sensibiliser les sociétés coopératives à lutter contre le changement climatique.
Pour le directeur des Organisations Professionnelles Agricoles, Kouassi Kouakou André, les panels et communications qui vont meubler cette journée seront axés sur la sensibilisation des coopératives sur les effets du réchauffement climatique dans le domaine de l’agriculture. " Il s’agira d’amener les sociétés coopératives à pratiquer une agriculture respectueuse de l’environnement" ajoute-t-il.
Il s’agira également de mettre en relief la complémentarité des objectifs des Nations unies et l’alliance coopérative internationale, de souligner la contribution du mouvement coopératif dans la résolution de problèmes majeurs soulevés par les Nations unies, de consolider et élargir les partenariats entre le mouvement coopératif international et d’autres acteurs, tels que les gouvernements au niveau local, national et international.
Les acteurs du secteur agricole, notamment les producteurs sont aussi victimes des effets du changement climatique en raison de la baisse des rendements agricoles. Il ne fait guère de doute que le changement climatique a des conséquences néfastes pour la Côte d’Ivoire, et que celles-ci vont probablement s’accroître au cours du temps en cas d’inaction.
Le Gouvernement ivoirien, s’est engagé sur le plan international, à réduire ses émissions de gaz à effet de serre (GES). Notamment l’adhésion de la Côte d’Ivoire aux protocoles et plans d’actions internationaux comme la ratification de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) en 1994 ; la signature de l’Accord de Paris en 2015, avec pour ambition d’utiliser 48% d’énergie renouvelable et de réduire de 28% la production de CO2 à l’horizon 2030, fut l’un des accords les plus ambitieux que la Côte d’Ivoire a signé, de tous les pays de la CEDEAO.
Le ministre de l’Agriculture et du Développement Rural, Kobenan Kouassi Adjoumani a, à l’occasion de l’ouverture de cette journée fait savoir que sur le plan national, pour une adaptation au changement climatique, la volonté du gouvernement s’est inscrite dans le Plan National de Développement adopté en 2016. "Celui-ci offre un cadre de référence stratégique qui intègre les défis des changements climatiques sur les années 2016-2020. Il se base pour cela sur un certain nombre de stratégies sectorielles comme le Programme Nationale de Changement Climatique (PNCC, 2012), et la Stratégie Nationale de Lutte contre les Changements Climatiques (2014). Plus récemment, la Côte d’Ivoire s’est engagée à accélérer l’Agriculture Zéro déforestation et la production de Cacao sans déforestation" a-t-il expliqué.
Le changement climatique est un problème pour le développement économique et social des pays. C’est pourquoi, une plus forte implication des administrations engagées dans la lutte contre ce fléau est indispensable.
Cyprien K.
Pour le directeur des Organisations Professionnelles Agricoles, Kouassi Kouakou André, les panels et communications qui vont meubler cette journée seront axés sur la sensibilisation des coopératives sur les effets du réchauffement climatique dans le domaine de l’agriculture. " Il s’agira d’amener les sociétés coopératives à pratiquer une agriculture respectueuse de l’environnement" ajoute-t-il.
Il s’agira également de mettre en relief la complémentarité des objectifs des Nations unies et l’alliance coopérative internationale, de souligner la contribution du mouvement coopératif dans la résolution de problèmes majeurs soulevés par les Nations unies, de consolider et élargir les partenariats entre le mouvement coopératif international et d’autres acteurs, tels que les gouvernements au niveau local, national et international.
Les acteurs du secteur agricole, notamment les producteurs sont aussi victimes des effets du changement climatique en raison de la baisse des rendements agricoles. Il ne fait guère de doute que le changement climatique a des conséquences néfastes pour la Côte d’Ivoire, et que celles-ci vont probablement s’accroître au cours du temps en cas d’inaction.
Le Gouvernement ivoirien, s’est engagé sur le plan international, à réduire ses émissions de gaz à effet de serre (GES). Notamment l’adhésion de la Côte d’Ivoire aux protocoles et plans d’actions internationaux comme la ratification de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) en 1994 ; la signature de l’Accord de Paris en 2015, avec pour ambition d’utiliser 48% d’énergie renouvelable et de réduire de 28% la production de CO2 à l’horizon 2030, fut l’un des accords les plus ambitieux que la Côte d’Ivoire a signé, de tous les pays de la CEDEAO.
Le ministre de l’Agriculture et du Développement Rural, Kobenan Kouassi Adjoumani a, à l’occasion de l’ouverture de cette journée fait savoir que sur le plan national, pour une adaptation au changement climatique, la volonté du gouvernement s’est inscrite dans le Plan National de Développement adopté en 2016. "Celui-ci offre un cadre de référence stratégique qui intègre les défis des changements climatiques sur les années 2016-2020. Il se base pour cela sur un certain nombre de stratégies sectorielles comme le Programme Nationale de Changement Climatique (PNCC, 2012), et la Stratégie Nationale de Lutte contre les Changements Climatiques (2014). Plus récemment, la Côte d’Ivoire s’est engagée à accélérer l’Agriculture Zéro déforestation et la production de Cacao sans déforestation" a-t-il expliqué.
Le changement climatique est un problème pour le développement économique et social des pays. C’est pourquoi, une plus forte implication des administrations engagées dans la lutte contre ce fléau est indispensable.
Cyprien K.