Abidjan- Le président du Conseil constitutionnel, Koné Mamadou, a réaffirmé la souveraineté des décisions de l’Institution notamment sur l’éligibilité des candidats au scrutin et l’élection du président de la République, qui ne peuvent être susceptibles d’aucun recours conformément à l’article 138 de la Constitution ivoirienne.
Le Conseil constitutionnel étant le seul organe habilité à interpréter officiellement la loi fondamentale, il est ainsi « l’interprète le plus authentique de la Constitution, a affirmé Koné Mamadou qui s’exprimait à la cérémonie d’investiture du président de la République, au Palais présidentiel, au Plateau, lundi 14 décembre 2020.
Ainsi, lorsque le Conseil constitutionnel a tranché, le citoyen peut approuver ou regretter la décision mais il doit savoir et surtout accepter que ni lui ni quiconque ne peut la remettre en cause, ajoute-t-il.
"Lorsque le Conseil constitutionnel déclare éligible un candidat, il est éligible. Lorsqu’il déclare un candidat élu, il est élu. Monsieur le Président Alassane Ouattara, vous étiez éligible, aujourd’hui, vous êtes élu », a insisté Koné Mamadou.
En outre, les décisions du Conseil constitutionnel s’imposent au pouvoir public et à toutes les autorités administratives et juridictionnelles ainsi qu’aux autorités militaires et à toutes personnes physiques ou morales, selon l’article 138 de la Constitution.
L’éligibilité du Président Alassane Ouattara avait été contestée par des partis de l’opposition qui avaient appelé à la la désobéissance civile et au boycott de l'élection du 31 octobre 2020. Le scrutin présidentiel a vu la réélection d’Alassane Ouattara avec 94% de voix.
Le Président de la République a prêté serment devant le Conseil Constitutionnel pour un nouveau mandat de cinq ans.
tad/cmas
Le Conseil constitutionnel étant le seul organe habilité à interpréter officiellement la loi fondamentale, il est ainsi « l’interprète le plus authentique de la Constitution, a affirmé Koné Mamadou qui s’exprimait à la cérémonie d’investiture du président de la République, au Palais présidentiel, au Plateau, lundi 14 décembre 2020.
Ainsi, lorsque le Conseil constitutionnel a tranché, le citoyen peut approuver ou regretter la décision mais il doit savoir et surtout accepter que ni lui ni quiconque ne peut la remettre en cause, ajoute-t-il.
"Lorsque le Conseil constitutionnel déclare éligible un candidat, il est éligible. Lorsqu’il déclare un candidat élu, il est élu. Monsieur le Président Alassane Ouattara, vous étiez éligible, aujourd’hui, vous êtes élu », a insisté Koné Mamadou.
En outre, les décisions du Conseil constitutionnel s’imposent au pouvoir public et à toutes les autorités administratives et juridictionnelles ainsi qu’aux autorités militaires et à toutes personnes physiques ou morales, selon l’article 138 de la Constitution.
L’éligibilité du Président Alassane Ouattara avait été contestée par des partis de l’opposition qui avaient appelé à la la désobéissance civile et au boycott de l'élection du 31 octobre 2020. Le scrutin présidentiel a vu la réélection d’Alassane Ouattara avec 94% de voix.
Le Président de la République a prêté serment devant le Conseil Constitutionnel pour un nouveau mandat de cinq ans.
tad/cmas