Abidjan - Une observation menée de septembre à décembre 2020 sur les profils et groupes Facebook a enregistré quelque 1401 discours de haine, selon une synthèse transmise vendredi 18 décembre 2020 à l’AIP.
Dans le cadre du programme “Transition et inclusion citoyennes en Côte d’Ivoire” mené par des organisations internationales NDI, Internews et une coalition d’organisations de la société civile, des injures et diffamations, des animalisations, des propos xénophobes et injures identitaires, des menaces, des attaques contre des communautés ont été “répertoriés en seulement une semaine et rien que sur un réseau social”, rapporte le document.
La haine foisonne sur la toile ivoirienne, souligne le rapport, ajoutant que “ce sont les groupes, plus précisément les groupes partisans à caractère politique qui cristallisent l’essentiel de ces discours de haine (93,93%) ».
La tendance générale est toutefois à la baisse, en comparaison avec les semaines précédentes, fait remarquer le document qui a ajouté que le pic a été observé les 30 et 31 octobre 2020, en lien avec l’élection présidentielle ivoirienne.
Durant ces deux jours, 116 menaces, animalisations, incitations au meurtre et à la révolte ont été collectées, selon la note.
Gak/kp
Dans le cadre du programme “Transition et inclusion citoyennes en Côte d’Ivoire” mené par des organisations internationales NDI, Internews et une coalition d’organisations de la société civile, des injures et diffamations, des animalisations, des propos xénophobes et injures identitaires, des menaces, des attaques contre des communautés ont été “répertoriés en seulement une semaine et rien que sur un réseau social”, rapporte le document.
La haine foisonne sur la toile ivoirienne, souligne le rapport, ajoutant que “ce sont les groupes, plus précisément les groupes partisans à caractère politique qui cristallisent l’essentiel de ces discours de haine (93,93%) ».
La tendance générale est toutefois à la baisse, en comparaison avec les semaines précédentes, fait remarquer le document qui a ajouté que le pic a été observé les 30 et 31 octobre 2020, en lien avec l’élection présidentielle ivoirienne.
Durant ces deux jours, 116 menaces, animalisations, incitations au meurtre et à la révolte ont été collectées, selon la note.
Gak/kp