Bonon - Les tenanciers de maquis, bars et restaurants de Bonon ont exprimé leur satisfaction quant à l'affluence de la clientèle au cours du réveillon de Noël.
Selon Niahé Jaurès dit Gabbana, gérant du maquis en vogue dans la ville de Bonon" c'est l'affluence des grands jours. " il n'est que 22 h et nous affichons complet mais les clients nous appellent pour des réservations et on verra comment leur trouver de la place", a-t-il signifié.
De l'entrée de la ville en venant de Daloa, à la sortie en direction de Bouaflé, le constat est que les endroits de réjouissance et de divertissement grouillent de monde.
Pour Kambiré Perpétue propriétaire de restaurant, "les choses se passent bien, c'est un jour spécial commémorant la naissance du Christ Sauveur".
Même les endroits autrefois délaissés ont été pris d'assaut, faute de places dans les lieux de divertissement prisés.
" Je voulais m'asseoir avec mes amis au maquis "la connexion"pour célébrer la Noël après un tour à l'Eglise mais je constate qu'il n'y a plus de places, donc nous nous sommes déportés dans ce petit coin pour nous égayer" a confié à l'AIP Koffi Boniface.
(AIP)
ors/tad/ask
Selon Niahé Jaurès dit Gabbana, gérant du maquis en vogue dans la ville de Bonon" c'est l'affluence des grands jours. " il n'est que 22 h et nous affichons complet mais les clients nous appellent pour des réservations et on verra comment leur trouver de la place", a-t-il signifié.
De l'entrée de la ville en venant de Daloa, à la sortie en direction de Bouaflé, le constat est que les endroits de réjouissance et de divertissement grouillent de monde.
Pour Kambiré Perpétue propriétaire de restaurant, "les choses se passent bien, c'est un jour spécial commémorant la naissance du Christ Sauveur".
Même les endroits autrefois délaissés ont été pris d'assaut, faute de places dans les lieux de divertissement prisés.
" Je voulais m'asseoir avec mes amis au maquis "la connexion"pour célébrer la Noël après un tour à l'Eglise mais je constate qu'il n'y a plus de places, donc nous nous sommes déportés dans ce petit coin pour nous égayer" a confié à l'AIP Koffi Boniface.
(AIP)
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