Abidjan - Vingt auditeurs issus de 12 pays du Golfe de Guinée ont été formés sur l’information et le renseignement maritimes au cours d’un séminaire qui s’est déroulée du 16 au 19 février à l’Académie régionale des sciences et techniques de la mer (ARSTM) sis à Yopougon-Niangon.
Ces analystes du renseignement maritime, comprenant des officiers des centres opérationnels maritimes et des centres de coordination, commandants de bâtiments, officiers de renseignement ont été instruits spécifiquement sur les moyens de collecter, d’analyser et de diffuser l’information afin de cibler les risques, définir des stratégies de lutte contre les trafics illicites et orienter les interventions.
Selon le coordonnateur régional de l’action de l’Etat en Mer dans le Golf de Guinée, Guillaume de Beauregard, l’essentiel à retenir est que pour exploiter l’information maritime et la rendre utilisable, il n’est pas besoin de disposer de moyens sophistiqués. La plupart des informations sont à porter de mains. Il convient d’aller les chercher dans les administrations, sur les bases de données web, dans les services des Etats voisins etc.
Directeur de l’Institut de sécurité maritime interrégionale (ISMI), organisateur dudit séminaire, le commandant Abé Aké Lazare s’est réjoui de la tenue de cette rencontre dont une bonne partie s’est déroulée en ligne. Invitant les participants à mettre à profit les connaissances acquises pour doter leurs administrations de système des renseignements performants, afin de mieux répondre aux menaces de plus en plus « mouvants et asymétriques ».
L’un des auditeurs, le lieutenant de vaisseau de la marine sénégalaise, Diouf Aziz, a salué cette initiative de l’ISMI « riche en enseignement ». Pendant ces quatre jours, il a beaucoup par appris sur la gestion de l’information maritime et son utilisation sur le plan opérationnel pour lutter contre l’insécurité maritime. Tout en promettant de transmettre les connaissances acquises à ses collaborateurs.
Cette formation sur l’information et le renseignement intègre le cadre des stratégies régionales de sécurité maritime dans le golf de Guinée pour lutter contre la piraterie, la pêche INN et la surexploitation des ressources, les pollutions, ainsi que les trafics divers (armes, stupéfiants, êtres humains, contrebandes…) qui sont des actes de criminalité par nature transfrontalières.
bsb/tm
Ces analystes du renseignement maritime, comprenant des officiers des centres opérationnels maritimes et des centres de coordination, commandants de bâtiments, officiers de renseignement ont été instruits spécifiquement sur les moyens de collecter, d’analyser et de diffuser l’information afin de cibler les risques, définir des stratégies de lutte contre les trafics illicites et orienter les interventions.
Selon le coordonnateur régional de l’action de l’Etat en Mer dans le Golf de Guinée, Guillaume de Beauregard, l’essentiel à retenir est que pour exploiter l’information maritime et la rendre utilisable, il n’est pas besoin de disposer de moyens sophistiqués. La plupart des informations sont à porter de mains. Il convient d’aller les chercher dans les administrations, sur les bases de données web, dans les services des Etats voisins etc.
Directeur de l’Institut de sécurité maritime interrégionale (ISMI), organisateur dudit séminaire, le commandant Abé Aké Lazare s’est réjoui de la tenue de cette rencontre dont une bonne partie s’est déroulée en ligne. Invitant les participants à mettre à profit les connaissances acquises pour doter leurs administrations de système des renseignements performants, afin de mieux répondre aux menaces de plus en plus « mouvants et asymétriques ».
L’un des auditeurs, le lieutenant de vaisseau de la marine sénégalaise, Diouf Aziz, a salué cette initiative de l’ISMI « riche en enseignement ». Pendant ces quatre jours, il a beaucoup par appris sur la gestion de l’information maritime et son utilisation sur le plan opérationnel pour lutter contre l’insécurité maritime. Tout en promettant de transmettre les connaissances acquises à ses collaborateurs.
Cette formation sur l’information et le renseignement intègre le cadre des stratégies régionales de sécurité maritime dans le golf de Guinée pour lutter contre la piraterie, la pêche INN et la surexploitation des ressources, les pollutions, ainsi que les trafics divers (armes, stupéfiants, êtres humains, contrebandes…) qui sont des actes de criminalité par nature transfrontalières.
bsb/tm