La ministre de la Solidarité, de la Cohésion sociale et la Lutte contre la pauvreté, Mariatou Koné, a procédé, mardi 23 février 2021, à l’ouverture de la 4ème édition du dialogue interreligieux sur les corrélations entre la religion et la liberté, à Abidjan, pour contrer l’extrémisme religieux.
Selon la ministre, ce colloque est une institution qui œuvre au vivre ensemble et à la cohabitation pacifique entre les religions. « Respectons la liberté des autres à croire ou à ne pas croire et à penser autrement », a-t-elle déclaré.
Il s’agit, durant deux jours, en présence de chefs religieux d’obédiences catholique, musulmane, judaïque et évangélique, de réfléchir sur la contribution notable des pratiques de la religion pour la préservation des libertés individuelles et collectives contre l’extrémisme religieux.
La résolution de cette interaction entre la religion et liberté contribuera à la durabilité des instituions républicaines et peut servir d’outils d’analyse et d’instrument de décisions dans l’intérêt de la paix en société, selon le directeur du Centre de recherche politique d’Abidjan (CRPA), Dr Moquet César Flan.
Ces échanges et réflexions sont primordiaux pour garantir davantage de libertés aux concitoyens pour une liberté responsable, a affirmé le représentant résident de Konrad Adenaueur-Siftung (KAS), Florian Karner. « Ensemble nous construirons, quelque de grand pour la paix des nations », a-t-il dit.
Cette rencontre sous régionale qui regroupe par visioconférence des participants du Togo, du Bénin et Burkina Faso entend également lutter contre les violences et autres formes de crimes violents et les discriminations religieuses, a noté l’ambassadeur d’Israël en Côte d’Ivoire, Leo Vinovezky, l'organisateur de cette manifestation.
Des panélistes dont le professeur au Collège d’ingénieurs AFEKA Tel Aviv, Rabbin Ben Simon, le Nonce Apostolique Paolo Borgia, l'Imam Issouf Doumbia du Conseil Supérieur des Imams, des mosquées et des affaires islamiques en Côte d'Ivoire (COSIM) et le président du Conseil des églises, missions et ministères évangéliques du Burkina FASO(CEMMEB), Révérend Emmanuel Kiemtore prennent part à ces assises.
(AIP)
Selon la ministre, ce colloque est une institution qui œuvre au vivre ensemble et à la cohabitation pacifique entre les religions. « Respectons la liberté des autres à croire ou à ne pas croire et à penser autrement », a-t-elle déclaré.
Il s’agit, durant deux jours, en présence de chefs religieux d’obédiences catholique, musulmane, judaïque et évangélique, de réfléchir sur la contribution notable des pratiques de la religion pour la préservation des libertés individuelles et collectives contre l’extrémisme religieux.
La résolution de cette interaction entre la religion et liberté contribuera à la durabilité des instituions républicaines et peut servir d’outils d’analyse et d’instrument de décisions dans l’intérêt de la paix en société, selon le directeur du Centre de recherche politique d’Abidjan (CRPA), Dr Moquet César Flan.
Ces échanges et réflexions sont primordiaux pour garantir davantage de libertés aux concitoyens pour une liberté responsable, a affirmé le représentant résident de Konrad Adenaueur-Siftung (KAS), Florian Karner. « Ensemble nous construirons, quelque de grand pour la paix des nations », a-t-il dit.
Cette rencontre sous régionale qui regroupe par visioconférence des participants du Togo, du Bénin et Burkina Faso entend également lutter contre les violences et autres formes de crimes violents et les discriminations religieuses, a noté l’ambassadeur d’Israël en Côte d’Ivoire, Leo Vinovezky, l'organisateur de cette manifestation.
Des panélistes dont le professeur au Collège d’ingénieurs AFEKA Tel Aviv, Rabbin Ben Simon, le Nonce Apostolique Paolo Borgia, l'Imam Issouf Doumbia du Conseil Supérieur des Imams, des mosquées et des affaires islamiques en Côte d'Ivoire (COSIM) et le président du Conseil des églises, missions et ministères évangéliques du Burkina FASO(CEMMEB), Révérend Emmanuel Kiemtore prennent part à ces assises.
(AIP)
