Gbéléban - Le directeur régional de la promotion de la Riziculture du Kabadougou, Ouédraogo Yacou, accompagné d'une délégation de l'Office chérifien des phosphates (OCP), ont mobilisé les organisations de producteurs de riz de Gbéléban pour qu'elles œuvrent à une autosuffisance de cette denrée, dans leur département.
Selon M. Ouédraogo, également deuxième adjoint au maire de Gbéléban, la question du riz doit être traitée avec beaucoup d'attention pour donner à cette commune d'être autosuffisante en riz. "Il existe plus de 500 hectares de bas fonds dans la Commune", a-t-il révélé, mercredi 17 mars 2021, à la salle du foyer des jeunes.
Selon les études menées par des cabinets, a-t-il poursuivi, si rien n'est fait en matière de production de riz d'ici 2030, la Côte d'Ivoire risque d'avoir de sérieux problème dans son alimentation en riz.
Pourtant, les résultats d'une analyse menée l'OCP montre que les sites de culture du riz dans les bas fonds à Gbélégban ont un degré d'acidité très élevé. L'utilisation des engrais MPK 11, 22, 21 et MPK 14, 18-18 pendant les labours du champ et les Urées pendant les repiquages des plans de riz est préconisée, à cet effet, selon le technicien supérieur à l'OCP, N'doumba Mandela.
Le sous-préfet de Gbéléban, Coulibaly Théophile, a exhorté les populations au travail. "La filière a été confrontée la saison dernière à plusieurs difficultés dues au changement climatiques et matériels", a-t-il rappelé.
gs/nmfa/fmo
Selon M. Ouédraogo, également deuxième adjoint au maire de Gbéléban, la question du riz doit être traitée avec beaucoup d'attention pour donner à cette commune d'être autosuffisante en riz. "Il existe plus de 500 hectares de bas fonds dans la Commune", a-t-il révélé, mercredi 17 mars 2021, à la salle du foyer des jeunes.
Selon les études menées par des cabinets, a-t-il poursuivi, si rien n'est fait en matière de production de riz d'ici 2030, la Côte d'Ivoire risque d'avoir de sérieux problème dans son alimentation en riz.
Pourtant, les résultats d'une analyse menée l'OCP montre que les sites de culture du riz dans les bas fonds à Gbélégban ont un degré d'acidité très élevé. L'utilisation des engrais MPK 11, 22, 21 et MPK 14, 18-18 pendant les labours du champ et les Urées pendant les repiquages des plans de riz est préconisée, à cet effet, selon le technicien supérieur à l'OCP, N'doumba Mandela.
Le sous-préfet de Gbéléban, Coulibaly Théophile, a exhorté les populations au travail. "La filière a été confrontée la saison dernière à plusieurs difficultés dues au changement climatiques et matériels", a-t-il rappelé.
gs/nmfa/fmo
