Au cours d’une rencontre avec le Ministre du Commerce et de l’industrie, Souleymane Diarrassouba, le jeudi 8 avril 2021, au cabinet ministériel au Plateau, le Directeur général de la Société africaine de plantations d’hévéas (SAPH), Marc Genot, a présenté le projet de construction d’une nouvelle usine de traitement de l’hévéa à Soubré, dans la région de la Nawa.
Selon lui, en effet, cette initiative s’inscrit dans la volonté de la SAPH d’étendre ses activités dans toutes les zones de production de caoutchouc brut, pour faire face à l’insuffisance des capacités d’usinage nationales, en vue de la transformation de la production totale de la Côte d’Ivoire. « Les sites de la SAPH sont au maximum de leurs capacités ; alors que que la production nationale d’hévéa ne fait que croître », a-t-il indiqué,
Conformément aux engagements pris dans le cadre de la convention signée avec l’Etat de Côte d’Ivoire, Monsieur Genot réalise ce projet pour augmenter la valeur ajoutée générée dans le secteur d’usinage de l’hévéa et à soutenir les planteurs pour l’écoulement de leurs productions.
Bien entendu, la nouvelle usine de traitement de l’hévéa qui favorisera l’augmentation de la capacité de traitement et de transformation des fonds de tasse sera d’une capacité annuelle de 60 000 tonnes pour un investissement de plus de 17 milliards Fcfa et des emplois prévisionnels pour 600 personnes. La fin des travaux de construction de l’usine est prévue pour le 1er novembre 2022.
Le Ministre Souleymane Diarrassouba s’est félicité du démarrage effectif de ce projet qui vient répondre aux obligations des parties, telles que prévues dans les conventions signées entre le Gouvernement et les unités de transformation d’hévéa. Ainsi, en vue d’inciter les industriels à transformer l’excédent de la production nationale, L’Etat de Côte d’Ivoire offre des avantages fiscaux aux entreprises en contrepartie de ce type d’investissement créateur de valeur ajoutée et d’emplois. Il a cependant encouragé le groupe Sifca à envisager des partenariats permettant de passer à la seconde transformation, notamment la fabrication au niveau local du latex pour le marché national et régional.
Selon lui, en effet, cette initiative s’inscrit dans la volonté de la SAPH d’étendre ses activités dans toutes les zones de production de caoutchouc brut, pour faire face à l’insuffisance des capacités d’usinage nationales, en vue de la transformation de la production totale de la Côte d’Ivoire. « Les sites de la SAPH sont au maximum de leurs capacités ; alors que que la production nationale d’hévéa ne fait que croître », a-t-il indiqué,
Conformément aux engagements pris dans le cadre de la convention signée avec l’Etat de Côte d’Ivoire, Monsieur Genot réalise ce projet pour augmenter la valeur ajoutée générée dans le secteur d’usinage de l’hévéa et à soutenir les planteurs pour l’écoulement de leurs productions.
Bien entendu, la nouvelle usine de traitement de l’hévéa qui favorisera l’augmentation de la capacité de traitement et de transformation des fonds de tasse sera d’une capacité annuelle de 60 000 tonnes pour un investissement de plus de 17 milliards Fcfa et des emplois prévisionnels pour 600 personnes. La fin des travaux de construction de l’usine est prévue pour le 1er novembre 2022.
Le Ministre Souleymane Diarrassouba s’est félicité du démarrage effectif de ce projet qui vient répondre aux obligations des parties, telles que prévues dans les conventions signées entre le Gouvernement et les unités de transformation d’hévéa. Ainsi, en vue d’inciter les industriels à transformer l’excédent de la production nationale, L’Etat de Côte d’Ivoire offre des avantages fiscaux aux entreprises en contrepartie de ce type d’investissement créateur de valeur ajoutée et d’emplois. Il a cependant encouragé le groupe Sifca à envisager des partenariats permettant de passer à la seconde transformation, notamment la fabrication au niveau local du latex pour le marché national et régional.