Abidjan– Le ministre de la Promotion de l’investissement et du Développement du secteur privé, Essis Esmel Emmanuel, a procédé, jeudi 15 avril 2021, à l’inauguration d’une usine de transformation de fruits tropicaux particulièrement spécialisée dans le séchage de bananes, de noix de coco, de mangue et d’ananas, située à Assié dans la commune de Bonoua.
Cette usine implantée par l’entreprise Suisse HPW Fresh &Dry en Côte d’Ivoire est, selon M. Essis, une illustration forte des bonnes relations bilatérales qui existent entre la Côte d’Ivoire et la Suisse depuis près de 60 ans.
Pour lui, cette usine de transformation, qui s’inscrit dans la vision de la restructuration de l’économie ivoirienne à travers l’industrialisation de ses unités de production surtout agricoles, permettra de "doper" les recettes agricoles, faire profiter le pays d’une plus grande partie de la valeur ajoutée de ses matières premières.
Cette transformation locale réduit aussi l’exposition de l’économie face aux fluctuations des prix sur les marchés internationaux des matières premières. Elle facilitera enfin le transfert des technologies des pays industrialisés vers la Côte d’Ivoire.
Des fruits secs
Cet investissement de près de trois milliards de francs CFA permettra la transformation de près de 8000 tonnes de fruits de qualité par an. La région du Sud-Comoé, étant une zone à forte productions vivrières dont de fruits, bénéficiera avec cette usine de retombées socio-économiques importantes.
Il s’agit notamment, a expliqué le directeur délégué de Eurocham, Julien Delcourt, de la création de 450 nouveaux emplois pour les jeunes et les femmes dont 100 saisonniers, d’une importante source de revenus pour un grand nombre d’agriculteurs et de petits exploitants.
Déjà implantée au Ghana, l’installation de cette usine en Côte d’Ivoire vise la mise en place d’une chaîne d’approvisionnement robuste et de qualité supérieure pour les fruits biologiques dont la Côte d’Ivoire est grande productrice.
tad/fmo
Cette usine implantée par l’entreprise Suisse HPW Fresh &Dry en Côte d’Ivoire est, selon M. Essis, une illustration forte des bonnes relations bilatérales qui existent entre la Côte d’Ivoire et la Suisse depuis près de 60 ans.
Pour lui, cette usine de transformation, qui s’inscrit dans la vision de la restructuration de l’économie ivoirienne à travers l’industrialisation de ses unités de production surtout agricoles, permettra de "doper" les recettes agricoles, faire profiter le pays d’une plus grande partie de la valeur ajoutée de ses matières premières.
Cette transformation locale réduit aussi l’exposition de l’économie face aux fluctuations des prix sur les marchés internationaux des matières premières. Elle facilitera enfin le transfert des technologies des pays industrialisés vers la Côte d’Ivoire.
Des fruits secs
Cet investissement de près de trois milliards de francs CFA permettra la transformation de près de 8000 tonnes de fruits de qualité par an. La région du Sud-Comoé, étant une zone à forte productions vivrières dont de fruits, bénéficiera avec cette usine de retombées socio-économiques importantes.
Il s’agit notamment, a expliqué le directeur délégué de Eurocham, Julien Delcourt, de la création de 450 nouveaux emplois pour les jeunes et les femmes dont 100 saisonniers, d’une importante source de revenus pour un grand nombre d’agriculteurs et de petits exploitants.
Déjà implantée au Ghana, l’installation de cette usine en Côte d’Ivoire vise la mise en place d’une chaîne d’approvisionnement robuste et de qualité supérieure pour les fruits biologiques dont la Côte d’Ivoire est grande productrice.
tad/fmo