Une usine suisse de transformation et de séchage de fruits tropicaux a été ouverte jeudi à Assé (Bonoua), une localité située à 60 Km au Sud-est d’Abidjan, pour un coût d’investissement de 3,27 milliards Fcfa.
L’ouverture officielle de l’usine dénommée HPW fresh & dry Côte d’Ivoire, a été faite par le ministre ivoirien de l’Investissement et du développement du secteur privé, Emmanuel Essis Esmel, et l’ambassadeur de Suisse en Côte d’Ivoire, Anne Lugin-Moulin.
Cette unité agroalimentaire, implantée au cœur de la production ivoirienne d’ananas, transforme par an 7.700 tonnes de mangues, d’ananas, de noix de coco et de bananes.
Elle transforme, en outre, 800 tonnes de fruits secs de première qualité dont 400 tonnes sont de qualité biologique. Cette nouvelle entreprise helvétique a permis de créer 450 emplois.
M. Essis Esmel a relevé que cette unité de transformation agroalimentaire s’inscrit dans la vision du chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, qui a mis le cap sur la transformation structurelle et économique du pays à travers l’industrialisation.
Il a fait observer que "dans ce sens, le cadre de l’investissement a été amélioré" avec des outils pour promouvoir l’investissement privé et accompagner les investisseurs, ce qui a produit des résultats ces dix dernières années.
Pour ce mandat 2020-2025, le président demande d’accélérer le processus et cela se traduit dans son projet de société la "Côte d’Ivoire solidaire" visant à "créer plus de richesses, mieux partagées" à travers le secteur privé, a-t-il ajouté.
Aujourd’hui, Je suis fière que de nombreuses entreprises helvétiques soient présentes en Côte d’Ivoire (et) nous en à avons plus de 40", a indiqué l’ambassadeur de Suisse en Côte d’Ivoire, Mme Anne Lugin-Moulin.
Selon la diplomate suisse, "la Côte d’Ivoire fait partie des lions économiques de l’Afrique dans la nouvelle stratégie" élaborée par le Département fédéral des Affaires étrangères de la Suisse.
Le secteur agricole en Côte d’Ivoire, l’un des piliers de l’économie, génère plus de 25% du Produit intérieur brut (PIB) et emploie plus de 50% de la population active nationale.
Cependant, la part des revenus captés par la Côte d’Ivoire reste faible, en raison des faibles taux de matières premières agricoles, ce qui impose une transformation des manières premières.
Le directeur général de HPW, Otmar Hofer, a fait savoir que "ce sont les conditions exceptionnelles de l’agriculture et des ressources humaines en Côte d’Ivoire qui ont incité le facteur décisif" de l’implantation.
"Nous transformons des ananas, des cocos, des bananes et des papayes, en plus de la mangue qui est un produit saisonnier", a ajouté M. Otmar Hofer, qui s’est réjoui des conditions climatiques idéales pour tous ces fruits.
Première puissance économique de l’Uemoa, la Côte d’Ivoire représente 35% du PIB de cette zone. Les IDE du pays ont doublé depuis 2012 pour passer à 800 millions d’euros avec un objectif de a milliard d’ici à trois ans.
HPW Fresh & dry Côte d’Ivoire est une filiale de HPW AG, à Buchs, en Suisse. Après plus de 10 ans d’approvisionnement en spécialités alimentaires sur le marché Suisse de la vente au détail, HPW AG a construit sa première usine de fruits secs au Ghana en 2010.
Aujourd’hui, l’usine du Ghana emploie plus de 1.200 personnes et transforme principalement les fruits de 1.400 petits exploitants en 2.000 tonnes de produits d’exportation. En plus des fruits secs, l’usine produit des grignotines à base de fruits.
AP/ls/APA
L’ouverture officielle de l’usine dénommée HPW fresh & dry Côte d’Ivoire, a été faite par le ministre ivoirien de l’Investissement et du développement du secteur privé, Emmanuel Essis Esmel, et l’ambassadeur de Suisse en Côte d’Ivoire, Anne Lugin-Moulin.
Cette unité agroalimentaire, implantée au cœur de la production ivoirienne d’ananas, transforme par an 7.700 tonnes de mangues, d’ananas, de noix de coco et de bananes.
Elle transforme, en outre, 800 tonnes de fruits secs de première qualité dont 400 tonnes sont de qualité biologique. Cette nouvelle entreprise helvétique a permis de créer 450 emplois.
M. Essis Esmel a relevé que cette unité de transformation agroalimentaire s’inscrit dans la vision du chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, qui a mis le cap sur la transformation structurelle et économique du pays à travers l’industrialisation.
Il a fait observer que "dans ce sens, le cadre de l’investissement a été amélioré" avec des outils pour promouvoir l’investissement privé et accompagner les investisseurs, ce qui a produit des résultats ces dix dernières années.
Pour ce mandat 2020-2025, le président demande d’accélérer le processus et cela se traduit dans son projet de société la "Côte d’Ivoire solidaire" visant à "créer plus de richesses, mieux partagées" à travers le secteur privé, a-t-il ajouté.
Aujourd’hui, Je suis fière que de nombreuses entreprises helvétiques soient présentes en Côte d’Ivoire (et) nous en à avons plus de 40", a indiqué l’ambassadeur de Suisse en Côte d’Ivoire, Mme Anne Lugin-Moulin.
Selon la diplomate suisse, "la Côte d’Ivoire fait partie des lions économiques de l’Afrique dans la nouvelle stratégie" élaborée par le Département fédéral des Affaires étrangères de la Suisse.
Le secteur agricole en Côte d’Ivoire, l’un des piliers de l’économie, génère plus de 25% du Produit intérieur brut (PIB) et emploie plus de 50% de la population active nationale.
Cependant, la part des revenus captés par la Côte d’Ivoire reste faible, en raison des faibles taux de matières premières agricoles, ce qui impose une transformation des manières premières.
Le directeur général de HPW, Otmar Hofer, a fait savoir que "ce sont les conditions exceptionnelles de l’agriculture et des ressources humaines en Côte d’Ivoire qui ont incité le facteur décisif" de l’implantation.
"Nous transformons des ananas, des cocos, des bananes et des papayes, en plus de la mangue qui est un produit saisonnier", a ajouté M. Otmar Hofer, qui s’est réjoui des conditions climatiques idéales pour tous ces fruits.
Première puissance économique de l’Uemoa, la Côte d’Ivoire représente 35% du PIB de cette zone. Les IDE du pays ont doublé depuis 2012 pour passer à 800 millions d’euros avec un objectif de a milliard d’ici à trois ans.
HPW Fresh & dry Côte d’Ivoire est une filiale de HPW AG, à Buchs, en Suisse. Après plus de 10 ans d’approvisionnement en spécialités alimentaires sur le marché Suisse de la vente au détail, HPW AG a construit sa première usine de fruits secs au Ghana en 2010.
Aujourd’hui, l’usine du Ghana emploie plus de 1.200 personnes et transforme principalement les fruits de 1.400 petits exploitants en 2.000 tonnes de produits d’exportation. En plus des fruits secs, l’usine produit des grignotines à base de fruits.
AP/ls/APA