En présence du Président du Conseil économique, social, environnemental et culturel, Aka Aouélé, du vice-président du Sénat, Ollo Germain et du président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, le Ministre du Commerce et de l’Industrie, Souleymane Diarrassouba, a procédé à l’installation officielle du Comité national de la consommation (CNCO), présidé par Ollo Manuella, personnalité connue du monde consumériste ivoirien.
C’était lors d’une cérémonie à l’auditorium de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, au cours de laquelle chacun des trente-deux membres de cette structure a reçu sa feuille de route. « Je déclare officiellement installée, la Commission nationale de la consommation et j’émets le vœu que la mise en place du CNCO en Côte d’Ivoire apporte une réponse appropriée aux différentes problématiques liées à la consommation dans notre pays », a indiqué monsieur le Ministre.
Il a marqué sa joie vis-à-vis de la matérialisation de l’une des principales doléances du monde consumériste prévue par le code de la consommation et ce, grâce à la volonté du Président Alassane Ouattara. Ce faisant, le Conseil national de la consommation donne l’occasion aux associations de consommateurs de travailler en synergie, dans un cadre unique avec l’administration et le secteur privé sur tous les sujets transversaux liés à la consommation.
En effet, la mise en place du CNCO vient parachever la mise en place du dispositif institutionnel de lutte contre la cherté de la vie, après l’opérationnalisation du Conseil national de lutte contre la vie chère (CNLVC) et de la Commission de la Concurrence.
Le Ministre Souleymane Diarrassouba n’a pas manqué de définir les missions du CNCO qui, selon lui, se résument à favoriser la confrontation et la concertation entre les représentants des intérêts collectifs des consommateurs et usagers, ainsi que les représentants des professionnels du secteur public et des pouvoirs publics de tout ce qui relève de la consommation.
« A ce titre, le CNCO est chargé spécifiquement de promouvoir les échanges de vue entre les pouvoirs publics, les organisations de protection des intérêts collectifs des consommateurs et les organisations patronales ; d’émettre des avis sur des projets de textes législatifs et réglementaires susceptibles d’impacter la consommation des biens et services ou la protection du consommateur ; de produire un rapport annuel sur l’état de la consommation ; d’étudier toutes les questions relatives à la consommation des biens et services ou de la protection du consommateur qui lui sont soumises par le Gouvernement », a-t-il poursuivi, avant d’assurer les membres du CNCO de la disponibilité de son département à les accompagner dans leur nouvelle fonction.
La Présidente du CNCO, Ollo Manuella, s’est engagée, au nom des membres, à tout mettre en œuvre afin que cet organe puisse pleinement jouer sa partition dans la protection des droits du consommateur et du développement socioéconomique de la Côte d’Ivoire.
C’était lors d’une cérémonie à l’auditorium de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, au cours de laquelle chacun des trente-deux membres de cette structure a reçu sa feuille de route. « Je déclare officiellement installée, la Commission nationale de la consommation et j’émets le vœu que la mise en place du CNCO en Côte d’Ivoire apporte une réponse appropriée aux différentes problématiques liées à la consommation dans notre pays », a indiqué monsieur le Ministre.
Il a marqué sa joie vis-à-vis de la matérialisation de l’une des principales doléances du monde consumériste prévue par le code de la consommation et ce, grâce à la volonté du Président Alassane Ouattara. Ce faisant, le Conseil national de la consommation donne l’occasion aux associations de consommateurs de travailler en synergie, dans un cadre unique avec l’administration et le secteur privé sur tous les sujets transversaux liés à la consommation.
En effet, la mise en place du CNCO vient parachever la mise en place du dispositif institutionnel de lutte contre la cherté de la vie, après l’opérationnalisation du Conseil national de lutte contre la vie chère (CNLVC) et de la Commission de la Concurrence.
Le Ministre Souleymane Diarrassouba n’a pas manqué de définir les missions du CNCO qui, selon lui, se résument à favoriser la confrontation et la concertation entre les représentants des intérêts collectifs des consommateurs et usagers, ainsi que les représentants des professionnels du secteur public et des pouvoirs publics de tout ce qui relève de la consommation.
« A ce titre, le CNCO est chargé spécifiquement de promouvoir les échanges de vue entre les pouvoirs publics, les organisations de protection des intérêts collectifs des consommateurs et les organisations patronales ; d’émettre des avis sur des projets de textes législatifs et réglementaires susceptibles d’impacter la consommation des biens et services ou la protection du consommateur ; de produire un rapport annuel sur l’état de la consommation ; d’étudier toutes les questions relatives à la consommation des biens et services ou de la protection du consommateur qui lui sont soumises par le Gouvernement », a-t-il poursuivi, avant d’assurer les membres du CNCO de la disponibilité de son département à les accompagner dans leur nouvelle fonction.
La Présidente du CNCO, Ollo Manuella, s’est engagée, au nom des membres, à tout mettre en œuvre afin que cet organe puisse pleinement jouer sa partition dans la protection des droits du consommateur et du développement socioéconomique de la Côte d’Ivoire.