Le conseil régional du Hambol, avec l’appui de la Direction régionale de l’éducation nationale et de l’alphabétisation (DRENA) de Katiola, a entamé, mercredi 05 mai 2021, au lycée moderne Henriette Dagri Diabète de Tafiré, une sensibilisation de proximité avec les acteurs et partenaires du système éducatif local pour infléchir le taux de grossesses précoces en milieu scolaire.
“Ce phénomène est considéré comme le grand malaise qui secoue l’éducation nationale en Côte d’Ivoire et particulièrement la région du Hambol”, a martelé la deuxième vice-présidente du Conseil régional du Hambol, Kignaman Soro Namita épse Yéo, par ailleurs chargée du département de Niakara au sein de la structure.
Mme Yéo a indiqué que “les statistiques concernant ce phénomène sont alarmantes et nous interpellent tous puisque pour cette année 2021, 21 cas de grossesses, majoritairement, chez les filles au premier cycle et principalement dans les classes de 6ème et 5ème ont déjà été enregistrés au lycée de Tafiré”. Elle a plaidé pour l’implication de tous en vue d’éradiquer le phénomène.
“Cela est une entrave à notre ambition de faire de la région du Hambol, celle qui a le taux de réussite et de scolarisation de la jeune fille le plus élevé “, a-t-elle relevé, s’exprimant au lycée moderne Henriette Dagri Diabaté de Tafiré, première étape d’une tournée de sensibilisation qui s’est poursuivie le même jour dans l’après-midi au lycée municipal Henri konan Bédié de Niakara, en présence du secrétaire général de préfecture, Yacouba Ouattara.
La campagne contre les grossesses précoces en milieu scolaire, à l’initiative du conseil régional du Hambol dans les départements de Niakara, Dabakala et de Katiola, bénéficie du soutien des Centres de santé scolaires et universitaires (CSSU), du Centre d’écoute de la DRENA de Katiola et du corps préfectoral.
“Pour notre part, une synergie d’actions s’impose à tous afin d’engager des actions immédiates pour endiguer ce phénomène “, a plaidé la 2ème vice-présidente du Conseil régional.
Tous les intervenants à cette cérémonie du mercredi, d’abord à Tafiré puis à Niakara, notamment le SG de préfecture de Niakara, Yacouba Ouattara, a plaidé pour plus d’engagements et de responsabilités tant au niveau des parents, des responsables religieux et de la société civile qu’au niveau des acteurs clés du secteur éducation-formation pour infléchir les statistiques quant aux grossesses précoces en milieu.
(AIP)
jbm/fmo
“Ce phénomène est considéré comme le grand malaise qui secoue l’éducation nationale en Côte d’Ivoire et particulièrement la région du Hambol”, a martelé la deuxième vice-présidente du Conseil régional du Hambol, Kignaman Soro Namita épse Yéo, par ailleurs chargée du département de Niakara au sein de la structure.
Mme Yéo a indiqué que “les statistiques concernant ce phénomène sont alarmantes et nous interpellent tous puisque pour cette année 2021, 21 cas de grossesses, majoritairement, chez les filles au premier cycle et principalement dans les classes de 6ème et 5ème ont déjà été enregistrés au lycée de Tafiré”. Elle a plaidé pour l’implication de tous en vue d’éradiquer le phénomène.
“Cela est une entrave à notre ambition de faire de la région du Hambol, celle qui a le taux de réussite et de scolarisation de la jeune fille le plus élevé “, a-t-elle relevé, s’exprimant au lycée moderne Henriette Dagri Diabaté de Tafiré, première étape d’une tournée de sensibilisation qui s’est poursuivie le même jour dans l’après-midi au lycée municipal Henri konan Bédié de Niakara, en présence du secrétaire général de préfecture, Yacouba Ouattara.
La campagne contre les grossesses précoces en milieu scolaire, à l’initiative du conseil régional du Hambol dans les départements de Niakara, Dabakala et de Katiola, bénéficie du soutien des Centres de santé scolaires et universitaires (CSSU), du Centre d’écoute de la DRENA de Katiola et du corps préfectoral.
“Pour notre part, une synergie d’actions s’impose à tous afin d’engager des actions immédiates pour endiguer ce phénomène “, a plaidé la 2ème vice-présidente du Conseil régional.
Tous les intervenants à cette cérémonie du mercredi, d’abord à Tafiré puis à Niakara, notamment le SG de préfecture de Niakara, Yacouba Ouattara, a plaidé pour plus d’engagements et de responsabilités tant au niveau des parents, des responsables religieux et de la société civile qu’au niveau des acteurs clés du secteur éducation-formation pour infléchir les statistiques quant aux grossesses précoces en milieu.
(AIP)
jbm/fmo