Abidjan - Le Premier ministre, Patrick Achi s’est insurgé vendredi 02 juillet 2021 contre la "hausse incontrôlée" des coûts des produits de première nécessité sur les marchés ivoiriens, depuis le problème de déficit de l’énergie dans le pays.
Lors d’une rencontre avec des industriels du secteur privé, le chef gouvernement a tapé le point sur table face à cette situation promettant des mesures fortes dans les jours à venir.
« Depuis quelques semaines, on assiste à une envolée des prix de certaines denrées sur le marché en particulier quelques fois des denrées de première nécessité qui font que les populations se sentent en difficultés, de plus en plus », a-t-il relevé.
Selon lui, malgré les efforts de l’Etat pour amoindrir l’impact de la crise énergétique, des gens personnes profitent pour saboter tout ce travail.
« Les populations ont l’impression que dans un environnement de semi-impunité et sous le silence coupable et complice de l’Etat, on laisse faire et qu’il y a plus de limite. Il est certainement venu pour moi de marquer un coup d’arrêt. On ne peut pas de façon sans fondement réel se mettre à augmenter de façon inconsidérée les prix des produits de première nécessité », a menacé le chef du gouvernement ivoirien.
Comme solution urgente, M. Achi a annoncé la reprise des activités du Conseil national contre la vie chère.
Il a précisé que des rencontres auront lieu dans les jours à venir avec les différents acteurs économiques filière par filière pour débattre de tous les sujets de fonds en vue de parvenir à la réduction du coût de la vie dans les ménages.
« Nous donnons un signal et rassurons les populations (...), l'Etat met tout en œuvre (...), nous ne sommes pas loin d’elles, nous ne sommes pas ignorants sur ces sujets (cherté de la vie), et nous travaillons », a-t-il promis.
Créé par décret N° 2017-410 du 21 juin 2017, le conseil national de lutte contre la vie chère est chargée d’assurer une veille permanente sur les prix des produits de grande consommation. Présidé par le Premier ministre, le Conseil se présente comme un cadre permanent d’échanges entre le secteur public et le secteur privé, entre les opérateurs économiques et le gouvernement, entre les syndicats, les associations de consommateurs et le gouvernement.
Bsp/ask
Lors d’une rencontre avec des industriels du secteur privé, le chef gouvernement a tapé le point sur table face à cette situation promettant des mesures fortes dans les jours à venir.
« Depuis quelques semaines, on assiste à une envolée des prix de certaines denrées sur le marché en particulier quelques fois des denrées de première nécessité qui font que les populations se sentent en difficultés, de plus en plus », a-t-il relevé.
Selon lui, malgré les efforts de l’Etat pour amoindrir l’impact de la crise énergétique, des gens personnes profitent pour saboter tout ce travail.
« Les populations ont l’impression que dans un environnement de semi-impunité et sous le silence coupable et complice de l’Etat, on laisse faire et qu’il y a plus de limite. Il est certainement venu pour moi de marquer un coup d’arrêt. On ne peut pas de façon sans fondement réel se mettre à augmenter de façon inconsidérée les prix des produits de première nécessité », a menacé le chef du gouvernement ivoirien.
Comme solution urgente, M. Achi a annoncé la reprise des activités du Conseil national contre la vie chère.
Il a précisé que des rencontres auront lieu dans les jours à venir avec les différents acteurs économiques filière par filière pour débattre de tous les sujets de fonds en vue de parvenir à la réduction du coût de la vie dans les ménages.
« Nous donnons un signal et rassurons les populations (...), l'Etat met tout en œuvre (...), nous ne sommes pas loin d’elles, nous ne sommes pas ignorants sur ces sujets (cherté de la vie), et nous travaillons », a-t-il promis.
Créé par décret N° 2017-410 du 21 juin 2017, le conseil national de lutte contre la vie chère est chargée d’assurer une veille permanente sur les prix des produits de grande consommation. Présidé par le Premier ministre, le Conseil se présente comme un cadre permanent d’échanges entre le secteur public et le secteur privé, entre les opérateurs économiques et le gouvernement, entre les syndicats, les associations de consommateurs et le gouvernement.
Bsp/ask