Bouaké- Une délégation du conseil national de lutte contre la vie chère (CNLVC), conduite par sa secrétaire exécutive, Dr. Ranie Bah-Koné, était en mission mercredi 14 juillet 2021 à Bouaké pour s’assurer de l’approvisionnement du marché de mouton et de l’accessibilité des prix pratiqués.
« Il s’agissait pour nous non seulement de venir nous assurer que malgré la situation des pays d’importation, notamment, le Niger, le Mali et le Burkina-Faso, le marché est approvisionné suffisamment en mouton à Bouaké, mais aussi et surtout exhorter les commerçants à pratiquer des prix accessibles à tous même aux populations les plus vulnérables », a expliqué Mme Koné.
Cette dernière, qui a visité le parc à bétail de Bouaké et l’abattoir en compagnie des membres de sa délégation, s’est dite heureuse de constater que ce message est bien perçu par les acteurs de la filière, notamment, les éleveurs et les vendeurs qui proposent des moutons pour toutes les bourses.
« Nous avons fait le tour du marché et nous avons effectivement constaté qu’il y a tous les prix. Certes, il y a des moutons (béliers) avec des prix plus élevés, mais il en y a également de 100 000 F, 80 000 F, 70 000 F voir 60 000 F », a-t-elle indiqué, rassurant les populations que chaque ivoirien pourra trouver un mouton qui correspond à son portemonnaie.
La secrétaire exécutive du conseil national de lutte contre la vie chère a tenu également à rassurer les populations quant au suivi régulier de ces prix pour éviter qu’ils flambent à mesure que la fête de tabaski approche.
« Le ministère du commerce et d’industrie assure le suivi de ces prix. Le premier responsable de ce département ministériel, M. Souleymane Diarrassouba est au front. C’est un sujet qui lui tient à cœur et ses services sont déployés pour contrôler et examiner ces prix et pour encadrer les commerçants », a-t-elle rassuré.
Après l’étape de Bouaké, la délégation du CNLVC poursuivra sa mission dans les villes de Korhogo, Ferkesédougou, Ouangolodougou et dans la localité de Larelaba, frontière Nord de la Côte d’Ivoire avec le Burkina-Faso. Il s’agira pour elle d’aller également rassurer les populations de la grande région du Poro et de lutter contre les pratiques qui peuvent être des causes d’augmentation des prix des moutons.
Créé par décret n° 2017-410 du 21 juillet 2017, le CNLVC est chargé d’assurer une veille permanente sur les prix des produits de consommation courante. Il est un cadre d’échange entre le secteur public et le secteur privé, les opérateurs économiques et le gouvernement, les syndicats, les associations de consommateurs et le gouvernement, rappelle-t-on.
rkk
« Il s’agissait pour nous non seulement de venir nous assurer que malgré la situation des pays d’importation, notamment, le Niger, le Mali et le Burkina-Faso, le marché est approvisionné suffisamment en mouton à Bouaké, mais aussi et surtout exhorter les commerçants à pratiquer des prix accessibles à tous même aux populations les plus vulnérables », a expliqué Mme Koné.
Cette dernière, qui a visité le parc à bétail de Bouaké et l’abattoir en compagnie des membres de sa délégation, s’est dite heureuse de constater que ce message est bien perçu par les acteurs de la filière, notamment, les éleveurs et les vendeurs qui proposent des moutons pour toutes les bourses.
« Nous avons fait le tour du marché et nous avons effectivement constaté qu’il y a tous les prix. Certes, il y a des moutons (béliers) avec des prix plus élevés, mais il en y a également de 100 000 F, 80 000 F, 70 000 F voir 60 000 F », a-t-elle indiqué, rassurant les populations que chaque ivoirien pourra trouver un mouton qui correspond à son portemonnaie.
La secrétaire exécutive du conseil national de lutte contre la vie chère a tenu également à rassurer les populations quant au suivi régulier de ces prix pour éviter qu’ils flambent à mesure que la fête de tabaski approche.
« Le ministère du commerce et d’industrie assure le suivi de ces prix. Le premier responsable de ce département ministériel, M. Souleymane Diarrassouba est au front. C’est un sujet qui lui tient à cœur et ses services sont déployés pour contrôler et examiner ces prix et pour encadrer les commerçants », a-t-elle rassuré.
Après l’étape de Bouaké, la délégation du CNLVC poursuivra sa mission dans les villes de Korhogo, Ferkesédougou, Ouangolodougou et dans la localité de Larelaba, frontière Nord de la Côte d’Ivoire avec le Burkina-Faso. Il s’agira pour elle d’aller également rassurer les populations de la grande région du Poro et de lutter contre les pratiques qui peuvent être des causes d’augmentation des prix des moutons.
Créé par décret n° 2017-410 du 21 juillet 2017, le CNLVC est chargé d’assurer une veille permanente sur les prix des produits de consommation courante. Il est un cadre d’échange entre le secteur public et le secteur privé, les opérateurs économiques et le gouvernement, les syndicats, les associations de consommateurs et le gouvernement, rappelle-t-on.
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