Le chef du canton des Akouès de Yamoussoukro, Nanan Boigny N’dri III, a procédé à l’investiture du bureau de la jeunesse Félix Houphouët-Boigny pour la paix et le développement, une nouvelle organisation présidée par Kouassi Koffi Germain.
Cette association se veut apolitique et milite pour le développement de la paix à Yamoussoukro en passant par le renforcement de l’autonomisation des jeunes et des femmes.
Nanan Boigny N’dri III qui a salué samedi 17 juillet 2021 l’initiative des jeunes, a souligné que « l’houphouétisme n’est pas une posture politique, mais une philosophie de la vie ».
Il a encouragé ses filleuls à se détourner du chemin de la violence qui est, selon lui, une impasse et souhaité que les actes de vandalisme qui ont émaillé la dernière présidentielle à Yamoussoukro soient un lointain souvenir.
Le chef du canton a affirmé que son ambition demeure l’obtention de fonds publics pour occuper sainement les jeunes de Yamoussoukro et révélé que ce projet reste en bonne voie, malgré la tragique disparition de l’ancien Premier ministre Hamed Bakayoko qui y était favorable.
« Nous cherchons d’autres sources de financement », a indiqué le chef Boigny N’dri III.
(AIP)
Gso/kp
Cette association se veut apolitique et milite pour le développement de la paix à Yamoussoukro en passant par le renforcement de l’autonomisation des jeunes et des femmes.
Nanan Boigny N’dri III qui a salué samedi 17 juillet 2021 l’initiative des jeunes, a souligné que « l’houphouétisme n’est pas une posture politique, mais une philosophie de la vie ».
Il a encouragé ses filleuls à se détourner du chemin de la violence qui est, selon lui, une impasse et souhaité que les actes de vandalisme qui ont émaillé la dernière présidentielle à Yamoussoukro soient un lointain souvenir.
Le chef du canton a affirmé que son ambition demeure l’obtention de fonds publics pour occuper sainement les jeunes de Yamoussoukro et révélé que ce projet reste en bonne voie, malgré la tragique disparition de l’ancien Premier ministre Hamed Bakayoko qui y était favorable.
« Nous cherchons d’autres sources de financement », a indiqué le chef Boigny N’dri III.
(AIP)
Gso/kp