Le préfet de région, préfet du département d’Aboisso, Coulibaly Gando, a appelé la communauté musulmane, lors de la célébration officielle de la Tabaski mardi 20 juillet 2021 à la place Alexis Etché Elleingand, à continuer ses prières en faveur de la Côte d’Ivoire.
Il a expliqué que ces prières aident le pays à traverser les moments difficiles tout en évoquant la pandémie à coronavirus qui a empêché la tenue du Hadj 2021. « Cette situation devrait amener à davantage de prière », a dit l’autorité préfectorale, invitant les fidèles musulmans à se faire vacciner afin que la Côte d’Ivoire arrive à bout de cette pandémie.
La communauté musulmane pour cette célébration a bénéficié du soutien des autorités administratives et des élus locaux, a-t-on noté.
Soixante-dix jours après la fin du Ramadan, la Tabaski, littéralement “fête du mouton”, commémore la force de la foi d'Ibrahim (Abraham dans la tradition judéo-chrétienne) à son Dieu, symbolisée par l'épisode où il accepte de sacrifier, sur l'ordre de Dieu, son fils Ismaël, quoique le Coran ne précise pas s'il s'agit d'Isaac ou d'Ismaël.
(AIP)
Akn/kp
Il a expliqué que ces prières aident le pays à traverser les moments difficiles tout en évoquant la pandémie à coronavirus qui a empêché la tenue du Hadj 2021. « Cette situation devrait amener à davantage de prière », a dit l’autorité préfectorale, invitant les fidèles musulmans à se faire vacciner afin que la Côte d’Ivoire arrive à bout de cette pandémie.
La communauté musulmane pour cette célébration a bénéficié du soutien des autorités administratives et des élus locaux, a-t-on noté.
Soixante-dix jours après la fin du Ramadan, la Tabaski, littéralement “fête du mouton”, commémore la force de la foi d'Ibrahim (Abraham dans la tradition judéo-chrétienne) à son Dieu, symbolisée par l'épisode où il accepte de sacrifier, sur l'ordre de Dieu, son fils Ismaël, quoique le Coran ne précise pas s'il s'agit d'Isaac ou d'Ismaël.
(AIP)
Akn/kp