Abidjan, Le président d'une association ivoiro-burkinabè dénommée Convergence des peuples pour la promotion du Traité d'amitié et de coopération (COPTAC), Désiré Yameogo, a plaidé mardi 27 juillet 2021, à Abidjan, pour la réouverture des frontières entre le Burkina Faso et la Côte d'Ivoire afin de mettre fin à la souffrance des populations.
"Notre plaidoyer, ce soir, est primordialement l'ouverture des frontières entre le Burkina Faso et la Côte d'Ivoire ainsi que l'ensemble des pays membres de l'UEMOA et de la CEDEAO. Le but recherché est de mettre fin à la souffrance des populations", a-t-il indiqué à l'occasion d'un diner gala pour la remise de prix à des personnalités burkinabè et ivoiriennes pour leur acharnement à intégrer dans leur agir quotidien, l’esprit et la philosophie du TAC, organisé par lae structure en collaboration avec la Commission nationale des droits de l'Homme (CNDH).
Pour le président de cette association, cette réouverture doit se faire toutefois dans le strict respect de la valeur humaine, respectant les clauses de la libre circulation comme recommandée par la CEDEAO.
Le même jour, la réunion du conseil conjoint de gouvernement, précédé par les travaux des experts des deux pays les 24 et 25 juillet 2021, prévoit une rencontre des ministres des pays en charge de la Santé et de la Sécurité pour analyser les modalités de mise en œuvre de la réouverture des frontières terrestres et la libre circulation des bien et des personnes, afin de mieux préserver la sécurité des deux pays et la santé des populations.
La COPTAC est une association qui partage les valeurs cardinales du TAC.
Au cours de cette cérémonie, une vingtaine de personnalités burkinabè et ivoiriennes ont reçu des prix dont les deux ministres des deux pays en charge de la Jeunesse.
(AIP)
sdaf/cmas
"Notre plaidoyer, ce soir, est primordialement l'ouverture des frontières entre le Burkina Faso et la Côte d'Ivoire ainsi que l'ensemble des pays membres de l'UEMOA et de la CEDEAO. Le but recherché est de mettre fin à la souffrance des populations", a-t-il indiqué à l'occasion d'un diner gala pour la remise de prix à des personnalités burkinabè et ivoiriennes pour leur acharnement à intégrer dans leur agir quotidien, l’esprit et la philosophie du TAC, organisé par lae structure en collaboration avec la Commission nationale des droits de l'Homme (CNDH).
Pour le président de cette association, cette réouverture doit se faire toutefois dans le strict respect de la valeur humaine, respectant les clauses de la libre circulation comme recommandée par la CEDEAO.
Le même jour, la réunion du conseil conjoint de gouvernement, précédé par les travaux des experts des deux pays les 24 et 25 juillet 2021, prévoit une rencontre des ministres des pays en charge de la Santé et de la Sécurité pour analyser les modalités de mise en œuvre de la réouverture des frontières terrestres et la libre circulation des bien et des personnes, afin de mieux préserver la sécurité des deux pays et la santé des populations.
La COPTAC est une association qui partage les valeurs cardinales du TAC.
Au cours de cette cérémonie, une vingtaine de personnalités burkinabè et ivoiriennes ont reçu des prix dont les deux ministres des deux pays en charge de la Jeunesse.
(AIP)
sdaf/cmas