Abidjan - Le Premier ministre Patrick Achi exhorte à la poursuite « des actions concertées », engagées par la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso contre le terrorisme.
« Les actes de violence et de terrorisme endeuillent nos nations et menacent la paix, ainsi que la stabilité de la sous-région. C’est le lieu d’exhorter nos gouvernements à poursuivre les actions concertées, à riposter, réduire puis, in fine, éradiquer l’influence néfaste de ces fléaux », a indiqué Patrick Achi, mardi 27 juillet 2021 à Abidjan, à l’ouverture du Conseil de gouvernement du neuvième Traité d’Amitié et de Coopération (TAC 9).
Selon le chef du gouvernement ivoirien, il s’agira de mutualiser les moyens notamment, en matière de renseignement et de formation afin d’être plus efficace dans le combat contre le terrorisme.
Dans la nuit du 10 au 11 juin 2020, 14 soldats avaient été tués dans une autre attaque à Kafolo menée par “une soixantaine de terroristes lourdement armés venant du Burkina Faso”. Dans le mois de mars 2021, deux positions de l’armée à Kafolo et Kolobougou, avaient été prises pour cibles par des hommes armés, faisant six morts, trois soldats et trois terroristes. En juin, deux soldats et un gendarme avaient été tués au passage de leur véhicule sur un engin explosif à Téhini, à la frontière du Burkina Faso.
(AIP)
sn/cmas
« Les actes de violence et de terrorisme endeuillent nos nations et menacent la paix, ainsi que la stabilité de la sous-région. C’est le lieu d’exhorter nos gouvernements à poursuivre les actions concertées, à riposter, réduire puis, in fine, éradiquer l’influence néfaste de ces fléaux », a indiqué Patrick Achi, mardi 27 juillet 2021 à Abidjan, à l’ouverture du Conseil de gouvernement du neuvième Traité d’Amitié et de Coopération (TAC 9).
Selon le chef du gouvernement ivoirien, il s’agira de mutualiser les moyens notamment, en matière de renseignement et de formation afin d’être plus efficace dans le combat contre le terrorisme.
Dans la nuit du 10 au 11 juin 2020, 14 soldats avaient été tués dans une autre attaque à Kafolo menée par “une soixantaine de terroristes lourdement armés venant du Burkina Faso”. Dans le mois de mars 2021, deux positions de l’armée à Kafolo et Kolobougou, avaient été prises pour cibles par des hommes armés, faisant six morts, trois soldats et trois terroristes. En juin, deux soldats et un gendarme avaient été tués au passage de leur véhicule sur un engin explosif à Téhini, à la frontière du Burkina Faso.
(AIP)
sn/cmas
