Au moment où nous lui consacrons ces lignes, le ministre Amédé Koffi KOUAKOU est sans doute sur l’un des nombreux chantiers lancés par son Excellence le Président Alassane OUATTARA, pour doter la Côte d’Ivoire d’infrastructures nécessaires au développement intégral du pays. C’est avec beaucoup d’admiration que ses concitoyens voient cet infatigable serviteur de l’Etat, quitter momentanément son cabinet logé au 20e étage de la Tour Postel 2001 au Plateau, pour descendre sur le terrain. Troquant le costume contre un gilet fluorescent ou un imperméable selon le temps qu’il fait, casque de sécurité vissé sur la tête, les pieds dans des bottes, il brave les intempéries pour constater de visu l’état d’avancement des nombreux chantiers en cours dans la capitale économique et à l’intérieur du pays. A Abidjan, il s’agit, entre autres, du 4ème pont de Yopougon, des échangeurs des carrefours de l’Indénié, de Solibra et de Gesco, de l’aménagement de la baie de Cocody, du dédoublement de la sortie Est et Ouest d’Abidjan. A l’intérieur, on note les bitumages des axes Korhogo-Sirasso-Dianra, de Yakassé Attobrou-Biéby-Béttié, de Dimbokro-Bocanda-Ananda, pour ne citer que ceux-là.
Ces visites souvent inopinées, ont permis à cet ingénieur chevronné de déceler des failles dans l’exécution des travaux et de rappeler à l’ordre, comme l’avait recommandé le chef de l’Etat, en conseil des ministres le 30 mars 2017, les entreprises en charge de la construction de ces infrastructures. Ces travaux étant d’un intérêt capital pour le développement du pays, le président Ouattara ne saurait tolérer la moindre insuffisance, rappelle souvent le ministre aux entrepreneurs. Lorsqu’il constate des défauts sur les chantiers, il n’hésite pas à tancer vertement les responsables des entreprises en question. Certaines d’entre elles se sont même vu retirer purement et simplement les marchés qui leur ont été confiés.
C’est au vu des compétences de ce docteur-ingénieur en génie civil, que le chef de l’Etat lui a confié le département stratégique de l’Equipement et de l’Entretien routier. Le ministre Amédé Koffi Kouakou est diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure des Travaux Publics (ENSTP) de Yamoussoukro et de l’Université de Toulouse-III-Paul-Sabatier en France. A peine sorti de ces prestigieuses écoles, le frais émoulu intègrera le Laboratoire du Bâtiment et des Travaux Publics (LBTP), d’Abidjan. Dans cette structure de l’Etat où il a débuté sa carrière professionnelle, il a fait montre de ses compétences techniques et managériales unanimement reconnues par ses collaborateurs.
On le dépeint aussi comme un personnage affable, mais rigoureux dans le travail.
Au cours de ses fréquentes visites sur les chantiers, il arrive souvent d’entendre le ministre Amédé Kouakou interpeller en ces termes les entreprises en charge de ces chantiers : « Nous voulons des infrastructures de qualité. Ce sont plusieurs milliards de Francs CFA investis par l’Etat avec la volonté du président de la République. Le Premier ministre nous a demandé d’être regardant ». Il leur rappelle également en guise d’avertissement : « L’entreprise s’est engagée à faire un certain nombre de travaux. Elle a mis une nouvelle couche sur l’ensemble du tronçon. Nous sommes venus nous assurer que le tronçon est bien en œuvre. Nous espérons que cette fois sera la bonne et que le revêtement qui est en train d’être mis en place va tenir longtemps. » En faisant preuve d’une telle rigueur, le ministre veut s’assurer de la solidité et de la pérennité de ces ouvrages. Comment pourrait-il en être autrement, lorsqu’on sait que le développement économique et social et, partant le bonheur des populations passent inéluctablement par des routes viables favorisant une mobilité urbaine, une fluidité routière, le transport des denrées alimentaires et autres produits, des échanges commerciaux pour une meilleure intégration régionale. A l’instar de Félix Houphouët-Boigny, dont il fut un très proche et fidèle serviteur, le Président de la République Alassane OUATTARA a érigé, à son tour, en principe d’action, l’adage « la route précède le développement ». Depuis son accession au pouvoir en 2011, il a fait construire plus de 1 000 km de routes et en a réhabilité plus de 2 000 km. En 2023, le montant de ces infrastructures se chiffrera à plus de 3.500 milliards de Fcfa.
Un homme qui maîtrise autant les grands chantiers que le champ politique.
Lorsque, ce 11 Janvier 2017, le Président Alassane OUATTARA appela Amédé Koffi KOUAKOU au gouvernement pour lui confier le portefeuille des Infrastructures économiques, ce n’est pas seulement la région du Lôh-Djiboua qui a salué la nomination d’un de ses fils, mais aussi tous ceux, toutes tendances politiques confondues, qui connaissent ce brillant cadre du pays. Mais en plus du technicien accompli qu’il est, ce jeune cadre du Rhdp, est aussi un rassembleur hors-pair qui maîtrise aussi bien le terrain politique que celui des grands chantiers. Sacrifiant ses weekends, Amédé Koffi KOUAKOU arpente routes, sentiers et pistes des villes, villages et hameaux du pays, pour mobiliser les populations autour d’un objectif primordial du Président de la République : La paix.
Que valent en effet des infrastructures, aussi gigantesques soient-elles, si le pays n’est pas fondé sur ce socle solide qu’est la paix, la stabilité politique qui ont fait dans un passé récent, la fierté de la Côte d’Ivoire, aussi bien dans la sous-région ouest-africaine que sur le continent ?
Reconstruire ce « havre de paix » où affluèrent, nombreux, des peuples venus de tous les horizons d’Afrique, passe, nécessairement, par la réconciliation de tous les fils et filles de la Côte d’Ivoire. «La paix n’est pas un vain mot, c’est un comportement », ne se lassait de dire Félix Houphouët-Boigny, le père-fondateur de la Côte d’Ivoire moderne à ses compatriotes. C’est justement cette pensée du ‘’Sage de Yamoussoukro’’, que le ministre Amédé Koffi KOUAKOU, par ailleurs coordonnateur du RHDP de la région du LÔH DJIBOUA véhicule au cours de ses multiples tournées.
C’est donc avec enthousiasme, que les populations du Lôh-Djiboua et de toutes ces régions qu’il parcourt pour semer le bon grain de la paix, ont salué sa reconduction dans le gouvernement Achi II du 20 avril 2022. Député de Divo (sous-préfecture), maire de ladite commune, le ministre Amédé Koffi Kouakou n’a qu’une obsession : promouvoir la cohésion sociale, préalable à toute politique de développement. « Le Président Houphouët-Boigny nous a légué la paix. Nous devons faire la paix. Nous avons surtout besoin de paix pour développer nos cités», déclarait-il lors d’une rencontre avec les têtes couronnées et les populations du Lôh-Djiboua.
Exorciser les démons de la guerre par un message de paix
2000, 2002, 2011 : Trois années de violences sans précédent en Côte d’Ivoire. Trop de sang a coulé sur le sol ivoirien. Plus de 3000 morts, des millions de déplacés : un lourd bilan humain ! Qui serait prêt à revivre ce passé douloureux de notre histoire commune ? Le temps n’est-il pas venu de se pardonner les uns les autres, de réapprendre à vivre ensemble dans la paix et la cohésion sociale ?
Le pays revient de loin. Et chaque Ivoirien se doit de tirer les leçons des crises successives qui ont ensanglanté cette ‘’Terre d’espérance’’ qu’est la Côte d’Ivoire, pour tourner définitivement les pages sombres des violences électorales. Tel est, en substance, le message récurrent du ministre-député-maire Amédé KOUAKOU aux populations. De toute évidence, ces dernières ne sont guère nostalgiques de ces années difficiles. Bien au contraire, elles ont décidé de faire table rase de ce passé cauchemardesque. Raison pour laquelle, elles ont adhéré aux appels à la paix et à la réconciliation lancés par le ministre au cours de ses tournées. Mission accomplie donc pour Amédé KOUAKOU, dont le double objectif, en prenant son bâton de pèlerin, pour sillonner villes, villages et hameaux du Sud-ouest et du Centre du pays, est d’une part, de fédérer le peuple Dida et les autres communautés vivant dans la région autour des valeurs d’Houphouët-Boigny, d’autre part, d’amener ces populations à adhérer massivement à la vision du Président Alassane OUATTARA et aux idéaux du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix, (RHDP). Les résultats obtenus par la coalition au pouvoir, lors des dernières élections, attestent éloquemment que la tâche que le parti a confiée à son émissaire qu’est le ministre Amédé Koffi KOUAKOU, a été exécutée avec succès. A preuve, le candidat du RHDP, le Dr Alassane OUATTARA a obtenu, dans cette région, 80 597 voix sur 85 197 suffrages exprimés à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020. Cerise sur le gâteau, le parti présidentiel a raflé 7 sièges sur 9 aux élections législatives du 6 mars 2021 dans le Lôh-Djiboua, notamment à : Divo sous-préfecture : Divo commune : Lakota Commune / Sous-préfecture : Guitry Commune / Sous-préfecture. Ces beaux résultats sont le fruit de l’énorme travail abattu par le ministre et son équipe. Celui-ci a également mis son dynamisme au profit de la ville de Divo (à 185 km d’Abidjan) dont il est le premier magistrat. En un peu moins de 10 ans (2013-2022), il a réalisé d’importantes infrastructures de base, entre autres : écoles, maternités, dispensaires. Afin de permettre à ses administrés, surtout aux jeunes et aux femmes, d’être économiquement autonomes, le député-maire leur a octroyé d’importants financements pour la réalisation de leurs différents projets. Au plan social, plusieurs élèves issus de familles défavorisées, ont bénéficié de prises en charge scolaires. Même élan de générosité envers des femmes qui ont reçu 2000 complets de pagnes. Au plan religieux, une dizaine de fidèles chrétiens et musulmans, ont pu aller en pèlerinage grâce au soutien du ministre. Que pourrait-on retenir des actions d’Amédé Koffi KOUAKOU, ministre de l’Equipement et de l’Entretien routier ? Une phrase résume ce que cet homme est : un cadre compétent et rigoureux, un serviteur dévoué de l’Etat.
Patrick KANAN
Consultant en Communication
kananpatrick95@gmail.com