Vendredi 10 mars, au lendemain de la condamnation à deux ans de prison ferme à l'encontre de 26 militants du PPA-CI pour « trouble à l'ordre public », le parti de l’ancien président Laurent Gbagbo a dénoncé « des condamnations iniques, arbitraires et politiquement orientées ». Il exige la « libération sans délai de ses militants » qui avaient participé à un rassemblement de soutien à Damana Pickass, le secrétaire général du PPA-CI, auditionné puis inculpé par la justice dans une autre affaire.
La condamnation des militants pour « trouble à l’ordre public » constitue un « acte de provocation » selon Justin Koné Katinan, porte-parole du PPA-CI (Parti des peuples africains-Côte d'Ivoire) :
« Pour nous, ces condamnations se résument... suite de l'article sur RFI