Quelle préoccupation syndicale des travailleurs après la revalorisation du SMIG, du SMAG et des indices catégoriels". C’est le thème de la 137ème commémoration de la fête du travail. Hier, lors d’une conférence de presse (vidéo-conférence) au siège de l’UGTCI, son secrétaire général, Ebagnerin Joseph, a rappelé aux entreprises l’application du SMIG qui est de 75 000 francs « Nous avons eu des difficultés avec certains employeurs qui n’ont pas réagi comme il le faut.
Nous les invitons à faire l’effort de se remettre au goût du jour », a-t-il exhorté. Joseph Ebagnerin, au cours de cette conférence de presse, s’est réjoui de certains acquis grâce à l’UGTCI qui a toujours prôné le syndicalisme de participation responsable. « La trêve n’est ni une aliénation ni une capitulation. Rien ne s’obtient par la guerre. Mais par des décisions, des idées.
Que l’on sache chaque fois raison garder », a-t-il conseillé. Le conférencier, poursuivant, a fait des propositions à l’Etat. La première concerne la Journée internationale des femmes. A ce sujet, le secrétaire général de l’UGTCI a souhaité que la date du 8 mars soit fériée chômée et payée.
« Il est important de présenter cette doléance au président de la République afin que le 08 mars soit un référentiel », a-t-il proposé. Il a également souhaité que la sécurité sociale verse des avantages aux personnes du 3ème âge.
DJE KM