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Société Publié le jeudi 15 août 2024 | AIP

Plus de 500 communications inscrites aux Journées scientifiques de la SOACHIM à Yamoussoukro

Plus de 500 communications inscrites aux Journées scientifiques de la SOACHIM à Yamoussoukro
© AIP Par DR
L’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro
L’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny est un établissement public de formation supérieure, de recherche et de production situé à Yamoussoukro en Côte d`Ivoir

Yamoussoukro (AIP) – Un total de 513 communications seront présentées lors des Journées scientifiques de la Société ouest-africaine de chimie (SOACHIM), qui se sont ouvertes le mardi 13 août 2024 à l’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INPHB) de Yamoussoukro.


Durant quatre jours, des étudiants doctorants, maîtres-assistants et maîtres de conférences, répartis en cinq groupes thématiques, soumettront les résultats de leurs recherches à l’épreuve des critiques dans le cadre rigoureux de la science universitaire.


Les communications abordent des thèmes variés tels que les matériaux, les substances bioactives, l’agroalimentaire, la modélisation pour optimiser la production dans les industries, ainsi que l’eau et l’environnement.


« La Journée scientifique est un outil d’intégration, de travail et de progression. Elle représente l’avancée de l’Afrique et contribue au développement des enseignants et de l’enseignement supérieur », a déclaré le président de la section ivoirienne de la SOACHIM, Professeur Gustave Bédi.


Au nom du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le Professeur Eboa Narcisse a salué la SOACHIM comme un outil d’intégration et a souligné la pertinence du thème choisi pour l’édition 2024 des Journées scientifiques, à savoir "Chimie et économie circulaire : quelle contribution pour le développement durable des populations et des entreprises en Afrique ?".


« Ce thème est d’importance mondiale. La Côte d’Ivoire a déjà organisé une grande rencontre sur l’économie circulaire. Il est essentiel de rester dans cette dynamique pour que nous, chimistes, puissions réfléchir et fournir des données et connaissances utiles à nos décideurs », a ajouté Professeur Bédi.


(AIP)

gso/ cmas

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