Blolequin - La section locale du Syndicat national des tricycles et des motos-taxis de côte d’Ivoire (SYNATM-CI), a affiché lundi, lors d’un entretien accordé à l'AIP, sa volonté de participer au développement du département de Blolequin (Ouest, région de Cavally).
Pour le président local dudit syndicat, Bamba Ibrahim, "cette volonté se concrétisera par la professionnalisation du secteur dans le département et cela passe nécessairement par l’organisation du syndicat depuis la base à Abidjan". Une organisation qui, selon lui, aura un impact " positif sur l’économie nationale" , en permettant à l’État de réaliser plusieurs infrastructures dans les départements dont Blolequin.
« Les motos taxis et tricycles facilitent le transport des biens et des personnes vu que les véhicules de transport ne peuvent pas aller partout à cause de l’état des routes. Avec cette activité, les jeunes se détournent des actes de vandalisme car ils sont trop occupés la journée par leurs activités économique », a expliqué Agathe, une habituée des taxis-motos.
Par contre, pour le président du collectif des transporteurs de Blolequin, Bakayoko Mamadou, les personnes transportées sur les motos-taxis courent un grand danger car 95% des motos ne sont pas assurées et ceux qui sont transportés sur les engins ne sont pas protégés par des casques.
(AIP)
sgb/amak/fmo
Pour le président local dudit syndicat, Bamba Ibrahim, "cette volonté se concrétisera par la professionnalisation du secteur dans le département et cela passe nécessairement par l’organisation du syndicat depuis la base à Abidjan". Une organisation qui, selon lui, aura un impact " positif sur l’économie nationale" , en permettant à l’État de réaliser plusieurs infrastructures dans les départements dont Blolequin.
« Les motos taxis et tricycles facilitent le transport des biens et des personnes vu que les véhicules de transport ne peuvent pas aller partout à cause de l’état des routes. Avec cette activité, les jeunes se détournent des actes de vandalisme car ils sont trop occupés la journée par leurs activités économique », a expliqué Agathe, une habituée des taxis-motos.
Par contre, pour le président du collectif des transporteurs de Blolequin, Bakayoko Mamadou, les personnes transportées sur les motos-taxis courent un grand danger car 95% des motos ne sont pas assurées et ceux qui sont transportés sur les engins ne sont pas protégés par des casques.
(AIP)
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