Bouna - Plusieurs personnes ayant subi des dommages dans la crise de Bouna survenue en mars 2016, pensent avoir été oubliées dans le paiement des indemnités démarré en décembre 2017.
Parmi ces victimes, figure, Ziéma Richard qui soutient avoir perdu dans cette crise son magasin parti en fumée au marché de Bouna avec une marchandise d'un montant de 10 millions de francs CFA. Son nom n'a été inscrit sur aucune liste de paiement.
Pourtant ce commerçant déclare avoir fait des démarches pour l'inscription de son nom pendant le recensement des victimes, opération tenue dans les locaux de la préfecture.
Selon le président du collectif des victimes, Ouattara Mohamed junior, ces personnes, qui se disent être oubliées, n'ont jamais répondu présent aux réunions convoquées par le collectif. Aussi, la majorité d'entre elles avaient déposé les dossiers entre les mains de personnes inconnues, des personnes intermédiaires.
"Le recensement s'était déroulé sur une longue période pour permettre à tous les victimes de se faire enregistrer. Certains l'on purement négligé, d'autres, au lieu de se rendre eux-mêmes à le préfecture, ont remis leurs papiers à de tierces personnes pour le faire, malheureusement ça n'a pas été fait et ces personnes se sont évadées dans la nature", a-t-il expliqué.
on/fmo
Parmi ces victimes, figure, Ziéma Richard qui soutient avoir perdu dans cette crise son magasin parti en fumée au marché de Bouna avec une marchandise d'un montant de 10 millions de francs CFA. Son nom n'a été inscrit sur aucune liste de paiement.
Pourtant ce commerçant déclare avoir fait des démarches pour l'inscription de son nom pendant le recensement des victimes, opération tenue dans les locaux de la préfecture.
Selon le président du collectif des victimes, Ouattara Mohamed junior, ces personnes, qui se disent être oubliées, n'ont jamais répondu présent aux réunions convoquées par le collectif. Aussi, la majorité d'entre elles avaient déposé les dossiers entre les mains de personnes inconnues, des personnes intermédiaires.
"Le recensement s'était déroulé sur une longue période pour permettre à tous les victimes de se faire enregistrer. Certains l'on purement négligé, d'autres, au lieu de se rendre eux-mêmes à le préfecture, ont remis leurs papiers à de tierces personnes pour le faire, malheureusement ça n'a pas été fait et ces personnes se sont évadées dans la nature", a-t-il expliqué.
on/fmo
