Après la paralysie, le calme revient dans la ville de Bangolo. Le récit de notre envoyé spécial.
C’est une ville de Bangolo morte qu’il nous a été donné de visiter l’ après-midi du mardi 13 mars. A la gare de Man, un lieu habituellement bondé de monde, un nombre impressionnant de corps habillé est présent. Les rues sont désertes. Les commerces, les établissements scolaires et les édifices publics hermétiquement fermés.
Ce constat est la résultante d’un fait qui aurait soulevé le courroux de la population. De quoi s’agit-il ?
Selon les informations recueillies dans la nuit du lundi au mardi, un poste de contrôle de gendarmerie dans le village de Béoué-Zibiao est attaqué par cinq individus. Les gendarmes au nombre de deux en poste, ripostent... suite de l'article sur Pôle Afrique
C’est une ville de Bangolo morte qu’il nous a été donné de visiter l’ après-midi du mardi 13 mars. A la gare de Man, un lieu habituellement bondé de monde, un nombre impressionnant de corps habillé est présent. Les rues sont désertes. Les commerces, les établissements scolaires et les édifices publics hermétiquement fermés.
Ce constat est la résultante d’un fait qui aurait soulevé le courroux de la population. De quoi s’agit-il ?
Selon les informations recueillies dans la nuit du lundi au mardi, un poste de contrôle de gendarmerie dans le village de Béoué-Zibiao est attaqué par cinq individus. Les gendarmes au nombre de deux en poste, ripostent... suite de l'article sur Pôle Afrique