Gagnoa - Les contestations électorales sont presque devenues congénitales dans les pays Africain, a déclaré le secrétaire général 1 de préfecture de Gagnoa, Anoh Angoratchi Noël.
« Malheureusement, on est habitué à cette contestation dans tout ce qui est choix », a déploré jeudi, l’administrateur, à l’ouverture de la première session ordinaire 2018, du Conseil régional du Gôh.
Le manque de confiance est à la base de cet état de fait, a poursuivi Anoh Angoratchi, qui se demande si le politique qui doute de l’autre, n’a pas un problème de confiance en elle-même.
C’est lorsqu’une personne est « influençable, achetable, ou retournable », qu’elle pense que l’autre a été « influencé, acheté et détourné », ou qu’elle ne fait les choses dans les règles de l’art, a-t-il défendu.
Il a donc invité les politiques du Gôh, à avoir confiance en eux-mêmes, afin que ce crédit se traduise aussi en l’autre, de sorte que ce soit « l’amour » qui guide les actions des uns et des autres, pour le bien-être des populations.
Anoh Angoratchi a plaidé afin que la dernière ligne droite du renouvellement des collectivités locales prévue pour bientôt, soit un moment de fête et non de la bagarre.
dd/fmo
« Malheureusement, on est habitué à cette contestation dans tout ce qui est choix », a déploré jeudi, l’administrateur, à l’ouverture de la première session ordinaire 2018, du Conseil régional du Gôh.
Le manque de confiance est à la base de cet état de fait, a poursuivi Anoh Angoratchi, qui se demande si le politique qui doute de l’autre, n’a pas un problème de confiance en elle-même.
C’est lorsqu’une personne est « influençable, achetable, ou retournable », qu’elle pense que l’autre a été « influencé, acheté et détourné », ou qu’elle ne fait les choses dans les règles de l’art, a-t-il défendu.
Il a donc invité les politiques du Gôh, à avoir confiance en eux-mêmes, afin que ce crédit se traduise aussi en l’autre, de sorte que ce soit « l’amour » qui guide les actions des uns et des autres, pour le bien-être des populations.
Anoh Angoratchi a plaidé afin que la dernière ligne droite du renouvellement des collectivités locales prévue pour bientôt, soit un moment de fête et non de la bagarre.
dd/fmo