San Pedro – Une ultime réunion du comité de pilotage du Programme conjoint de lutte contre la pauvreté dans la région de San Pedro, a rassemblé dans la ville portuaire, tous les partenaires et les représentants des bénéficiaires, à l’occasion d’une rencontre bilan au cours de laquelle le représentant résident du système des Nations unies en Côte d’Ivoire s’est réjoui du modèle que représente ce projet et du succès qu’il a connu.
« Ce projet est un modèle de référence parce que nous avons travaillé à différents niveaux et un appui particulier a été apporté aux femmes dans la production agricole, tandis que dans certaines zones, la production a été doublée. Ce qui a permis à des groupements de femmes de doubler leur revenus (…) et d’améliorer la qualité de vie de leurs familles », a déclaré le Coordonnateur résident du système des Nations Unies en Côte d’Ivoire, Babacar Cissé.
Selon le rapport du consultant chargé de l’étude bilan, l’exécution de ce programme a permis la création de plus de 900 emplois nouveaux et la consolidation de près de 1400 autres. Il est souligné que 65% des groupements financés sont constitués de femmes et par ailleurs, le projet a permis le financement de 91 entrepreneurs, avec à la clé 187 emplois directs obtenus.
Des communautés villageoises de la région ont bénéficié de réfection de pistes, d’assistance juridique, avec l’établissement de plus de 3500 jugements supplétifs.
Le Programme conjoint de réduction de la pauvreté dans la région de San Pedro a été lancé en décembre 2014 par le fonds de la coopération espagnole, le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), l’Unicef, la FAO, la Chambre de commerce et d’Industrie, le Fonds d’entretien routier et le Port autonome de San Pedro.
Il porte sur un financement de près de 1,7 milliard de francs CFA et a pour objectifs d’accompagner le gouvernement ivoirien dans sa politique de sécurité alimentaire et de lutte contre la pauvreté et les inégalités dans les communautés.
La réunion bilan de vendredi a mis fin à la gestion mixte du projet, tenue par le Comité de pilotage, coprésidé par le représentant résident du système des nations unies et le préfet de région de San Pedro. Cette gestion a été transférée à un comité local, présidé le préfet de région de San Pedro, qui va s’atteler à résoudre certaines difficultés soulevées, notamment le faible taux de remboursement des financements avancés, afin d’assurer la pérennité dudit projet.
(AIP)
jmk/fmo
« Ce projet est un modèle de référence parce que nous avons travaillé à différents niveaux et un appui particulier a été apporté aux femmes dans la production agricole, tandis que dans certaines zones, la production a été doublée. Ce qui a permis à des groupements de femmes de doubler leur revenus (…) et d’améliorer la qualité de vie de leurs familles », a déclaré le Coordonnateur résident du système des Nations Unies en Côte d’Ivoire, Babacar Cissé.
Selon le rapport du consultant chargé de l’étude bilan, l’exécution de ce programme a permis la création de plus de 900 emplois nouveaux et la consolidation de près de 1400 autres. Il est souligné que 65% des groupements financés sont constitués de femmes et par ailleurs, le projet a permis le financement de 91 entrepreneurs, avec à la clé 187 emplois directs obtenus.
Des communautés villageoises de la région ont bénéficié de réfection de pistes, d’assistance juridique, avec l’établissement de plus de 3500 jugements supplétifs.
Le Programme conjoint de réduction de la pauvreté dans la région de San Pedro a été lancé en décembre 2014 par le fonds de la coopération espagnole, le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), l’Unicef, la FAO, la Chambre de commerce et d’Industrie, le Fonds d’entretien routier et le Port autonome de San Pedro.
Il porte sur un financement de près de 1,7 milliard de francs CFA et a pour objectifs d’accompagner le gouvernement ivoirien dans sa politique de sécurité alimentaire et de lutte contre la pauvreté et les inégalités dans les communautés.
La réunion bilan de vendredi a mis fin à la gestion mixte du projet, tenue par le Comité de pilotage, coprésidé par le représentant résident du système des nations unies et le préfet de région de San Pedro. Cette gestion a été transférée à un comité local, présidé le préfet de région de San Pedro, qui va s’atteler à résoudre certaines difficultés soulevées, notamment le faible taux de remboursement des financements avancés, afin d’assurer la pérennité dudit projet.
(AIP)
jmk/fmo
