Le préfet de police d’Odienné, Sabona Joseph a animé, jeudi, à Odienné, un atelier de sensibilisation et de formation des unités des forces de défense et de sécurité pour impliquer toutes les forces publiques et les populations pour prévenir les crimes et le désordre à Odienné.
Anticiper sur les évènements, connaitre son territoire et y être connu, placer les attentes sécuritaires des populations au cœur de l’action, améliorer l’image de marque du service, tels sont les objectifs visés par la police de proximité.
«La police de proximité est une doctrine d’emploi des forces de police qui privilégie la police préventive. C’est une approche qui encourage la population à devenir le partenaire de la police dans la prévention du crime, on parle alors de coproduction de la sécurité », a expliqué le préfet de police.
Selon lui, plusieurs principes découlent de ce concept à savoir prévenir des crimes et du désordre, tisser une relation de manière à faire de chaque citoyen, son propre policier. Une bonne collaboration avec la population est le gage d’un bon renseignement de police, ce qui permettra de prévenir le désordre et les crimes.
La rencontre a réuni des éléments de la gendarmerie, la police, les douanes, les gardes pénitenciers, les agents des eaux et forêts. Les prochaines rencontres réuniront les leaders communautaires, la chefferie, la jeunesse, les femmes pour une plus grande implication des populations.
(AIP)
ss/fmo
Anticiper sur les évènements, connaitre son territoire et y être connu, placer les attentes sécuritaires des populations au cœur de l’action, améliorer l’image de marque du service, tels sont les objectifs visés par la police de proximité.
«La police de proximité est une doctrine d’emploi des forces de police qui privilégie la police préventive. C’est une approche qui encourage la population à devenir le partenaire de la police dans la prévention du crime, on parle alors de coproduction de la sécurité », a expliqué le préfet de police.
Selon lui, plusieurs principes découlent de ce concept à savoir prévenir des crimes et du désordre, tisser une relation de manière à faire de chaque citoyen, son propre policier. Une bonne collaboration avec la population est le gage d’un bon renseignement de police, ce qui permettra de prévenir le désordre et les crimes.
La rencontre a réuni des éléments de la gendarmerie, la police, les douanes, les gardes pénitenciers, les agents des eaux et forêts. Les prochaines rencontres réuniront les leaders communautaires, la chefferie, la jeunesse, les femmes pour une plus grande implication des populations.
(AIP)
ss/fmo