Le projet d’étude épidémiologique des maladies virales de l’igname en Côte d’Ivoire et en Ouganda a été lancé ce mercredi 12 juin au pôle scientifique et d’innovation de l’Université Félix Houphouët-Boigny situé à Bingerville.
Cette étude a pour objectif d’identifier et la cartographie des maladies virales qui freinent la production de l’igname dans les deux pays.
En Côte d’Ivoire, l’igname constitue la première culture vivrière avec une production annuelle estimée à environ 6 millions de tonnes selon la FAO (2016) soit 35% de la production agricole nationale.
En Ouganda, même si la production annuelle est relativement faible comparée à celle de la Côte d’Ivoire, l’igname fait principalement partie des habitudes alimentaires des Ougandais.
Sa production en Afrique de l’Ouest et de l’est, représente 91% de la production mondiale.
Beaucoup consommé par les populations pour sa valeur nutritive et son apport calorifique, les maladies de l’igname qui existent depuis bien longtemps, ont fait cas de peu d’étude.
En organisant cette étude qui va durer 12 mois, le programme Ouest Africain d’épidémiologie virale pour la sécurité alimentaire en Afrique (WAVE) de l’université Félix Houphouët-Boigny et le National Crops Research Institute (NaCRRI) de l’ouganda, veulent : «Contribuer à la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest et de l’est à travers une augmentation durable de la production de l’igname et une meilleure gestion des maladies virales de l’igname» a soutenu Dr Justin pita, Directeur Exécutif, WAVE.
Ce projet à été cofinancé par le Programme d’Appui Stratégique à la Recherche Scientifique (PASRES) et l’UNCST pour un montant global de 50 000 dollars US.
Il permettra également au pays de travailler sur des sujets de recherche scientifique avec d’autres pays à travers le partage d’expérience d’autres chercheurs sur la thématique.
C’est la nouvelle orientation du PASRES déclinée par professeur Viviane Krou Adohi, présidente du conseil scientifique.
Avant de lancer l’ouverture des travaux, Abdourahmane Sangaré, Vice-président en charge de la recherche et de l’innovation technologique de l’Université Félix Houphouët-Boigny, a salué cette initiative qui permettra à terme à des millions d’Africains de se nourrir convenablement.
Ces deux jours de travaux vont permettre aux professionnelles d’élaborer et s’accorder sur les méthodologies devant permettre une mise en œuvre efficace et efficiente du projet.
Cette étude va toucher les producteurs d’ignames dans les champs, les consommateurs et les agents de vulgarisation.
C. T.
Cette étude a pour objectif d’identifier et la cartographie des maladies virales qui freinent la production de l’igname dans les deux pays.
En Côte d’Ivoire, l’igname constitue la première culture vivrière avec une production annuelle estimée à environ 6 millions de tonnes selon la FAO (2016) soit 35% de la production agricole nationale.
En Ouganda, même si la production annuelle est relativement faible comparée à celle de la Côte d’Ivoire, l’igname fait principalement partie des habitudes alimentaires des Ougandais.
Sa production en Afrique de l’Ouest et de l’est, représente 91% de la production mondiale.
Beaucoup consommé par les populations pour sa valeur nutritive et son apport calorifique, les maladies de l’igname qui existent depuis bien longtemps, ont fait cas de peu d’étude.
En organisant cette étude qui va durer 12 mois, le programme Ouest Africain d’épidémiologie virale pour la sécurité alimentaire en Afrique (WAVE) de l’université Félix Houphouët-Boigny et le National Crops Research Institute (NaCRRI) de l’ouganda, veulent : «Contribuer à la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest et de l’est à travers une augmentation durable de la production de l’igname et une meilleure gestion des maladies virales de l’igname» a soutenu Dr Justin pita, Directeur Exécutif, WAVE.
Ce projet à été cofinancé par le Programme d’Appui Stratégique à la Recherche Scientifique (PASRES) et l’UNCST pour un montant global de 50 000 dollars US.
Il permettra également au pays de travailler sur des sujets de recherche scientifique avec d’autres pays à travers le partage d’expérience d’autres chercheurs sur la thématique.
C’est la nouvelle orientation du PASRES déclinée par professeur Viviane Krou Adohi, présidente du conseil scientifique.
Avant de lancer l’ouverture des travaux, Abdourahmane Sangaré, Vice-président en charge de la recherche et de l’innovation technologique de l’Université Félix Houphouët-Boigny, a salué cette initiative qui permettra à terme à des millions d’Africains de se nourrir convenablement.
Ces deux jours de travaux vont permettre aux professionnelles d’élaborer et s’accorder sur les méthodologies devant permettre une mise en œuvre efficace et efficiente du projet.
Cette étude va toucher les producteurs d’ignames dans les champs, les consommateurs et les agents de vulgarisation.
C. T.