La Planification familiale et la santé sexuelle reproductive font l’objet d’un projet qui a été lancé, lundi dernier, à Abidjan. Ce projet est le fruit du partenariat signé, en mars 2017, par l’Aimf et la Fondation Bill et Melinda Gates pour développer une « Initiative pour la santé et la salubrité dans les villes ». Premier partenariat entre cette Fondation leader de la philanthropie privée et le réseau des élus locaux francophones, l’Initiative aboutira sur la mise en place de 15 projets pilotes en 4 ans. En Côte d’Ivoire, le projet est porté par le District autonome d’Abidjan en faveur des municipalités.
Et pour le lancement officiel, plusieurs pays de l’Afrique francophone se sont donné rendez-vous à Abidjan. Cette campagne qui aura duré du lundi 23 au mercredi 25 septembre 2019 permet de visiter le projet pilote d’une durée de 2 ans en cours dans les communes d’Attécoubé et de Yopougon. La visite terrain est marquée par des échanges avec les acteurs pour évaluer l’évolution du projet. A travers ce projet, le District d’Abidjan se mobilise pour contribuer aux efforts nationaux. A terme, la phase pilote vise 3000 jeunes devant adopter des méthodes de contraception moderne et 100 000 jeunes sensibilisés. Dans la pratique, selon le chef de projet, le District développe trois axes prioritaires, à savoir « le renforcement des capacités, les formations à l’endroit du personnel soignant, du personnel d’encadrement (les enseignants, les éducateurs, toute la communauté éducative). Le 2ème axe de priorité, ce sont les informations et la sensibilisation ». Le territoire du projet comprend 26 établissements dont 17 à Yopougon et 9 à Attécoubé. Ces périodes de sensibilisations, a-t-on noté, vont permettre de faire la stratégie avancée. C’est-à-dire permettre aux élèves et aux encadreurs d’être informés sur la Planification familiale (Pf). L’étude situationnelle a démontré, selon le District, que 98% des élèves ne sont pas informés sur la Pf. L’objectif est donc « d’approcher ces personnes pour leur expliquer la problématique en milieu scolaire. » Le 3ème axe, « c’est de doter les infirmeries, les centres de santé qui sont sur le périmètre du projet en petits matériels. L’étude situationnelle a démontré que certaines infirmeries privées n’avaient pas d’informations en matière de planification familiale.
Ils sont aussi dotés de produits contraceptifs. » Le gouverneur Mambé était représenté par le vice-gouverneur, Séa Honoré. Qui a indiqué que la « question mérite une réponse claire » de la part des structures compétentes. L’Aimf était représentée par la conseillère et représentante du Secrétariat permanent, Mme Ariana Ardesi.
JB KOUADIO
Et pour le lancement officiel, plusieurs pays de l’Afrique francophone se sont donné rendez-vous à Abidjan. Cette campagne qui aura duré du lundi 23 au mercredi 25 septembre 2019 permet de visiter le projet pilote d’une durée de 2 ans en cours dans les communes d’Attécoubé et de Yopougon. La visite terrain est marquée par des échanges avec les acteurs pour évaluer l’évolution du projet. A travers ce projet, le District d’Abidjan se mobilise pour contribuer aux efforts nationaux. A terme, la phase pilote vise 3000 jeunes devant adopter des méthodes de contraception moderne et 100 000 jeunes sensibilisés. Dans la pratique, selon le chef de projet, le District développe trois axes prioritaires, à savoir « le renforcement des capacités, les formations à l’endroit du personnel soignant, du personnel d’encadrement (les enseignants, les éducateurs, toute la communauté éducative). Le 2ème axe de priorité, ce sont les informations et la sensibilisation ». Le territoire du projet comprend 26 établissements dont 17 à Yopougon et 9 à Attécoubé. Ces périodes de sensibilisations, a-t-on noté, vont permettre de faire la stratégie avancée. C’est-à-dire permettre aux élèves et aux encadreurs d’être informés sur la Planification familiale (Pf). L’étude situationnelle a démontré, selon le District, que 98% des élèves ne sont pas informés sur la Pf. L’objectif est donc « d’approcher ces personnes pour leur expliquer la problématique en milieu scolaire. » Le 3ème axe, « c’est de doter les infirmeries, les centres de santé qui sont sur le périmètre du projet en petits matériels. L’étude situationnelle a démontré que certaines infirmeries privées n’avaient pas d’informations en matière de planification familiale.
Ils sont aussi dotés de produits contraceptifs. » Le gouverneur Mambé était représenté par le vice-gouverneur, Séa Honoré. Qui a indiqué que la « question mérite une réponse claire » de la part des structures compétentes. L’Aimf était représentée par la conseillère et représentante du Secrétariat permanent, Mme Ariana Ardesi.
JB KOUADIO