L’accès à l’eau potable, demeure la première de priorité dans le Bounkani, a révélé, mercredi, l’atelier de recueil des besoins et aspirations des populations de cette région dans le cadre du Plan national de développement (PND) 2021-2025.
La question de l’accès à l’eau potable dans cette région est arrivée à la première position des priorités à l’issue d’analyses profondes menées par les participants à l’atelier qui s’est déroulé sur trois jours.
Il a regroupé les préfets des départements de la région, les directeurs et chefs de service, les leaders communautaires ainsi que les présidents d’associations et Ong, rappelle-t-on. Selon eux, les besoins en pompes hydrauliques sont réels et doivent être pris en compte dans le prochain PND pour les bonheur des populations rurales.
La diarrhée et la bilharziose sont les principales maladies des populations locales à cause du déficit d’eau potable, car elles ont recours aux bas-fonds et cours d’eaux situés à la périphérie des villages.
Selon la direction régionale de l’Hydraulique du Bounkani, 324 pompes sont hors d’usage car tombées en panne depuis les années 80 et plus de 400 demandes de forages sont introduites par les populations dans le seul département de Bouna.
En dépit du programme ” Eau pour tous ” initié par le gouvernement et qui prend en compte la problématique de la réhabilitation ou de la réparation des pompes en panne, la question de l’accès à l’eau potable reste cruciale dans la région du Bounkani.
(AIP)
on/fmo
La question de l’accès à l’eau potable dans cette région est arrivée à la première position des priorités à l’issue d’analyses profondes menées par les participants à l’atelier qui s’est déroulé sur trois jours.
Il a regroupé les préfets des départements de la région, les directeurs et chefs de service, les leaders communautaires ainsi que les présidents d’associations et Ong, rappelle-t-on. Selon eux, les besoins en pompes hydrauliques sont réels et doivent être pris en compte dans le prochain PND pour les bonheur des populations rurales.
La diarrhée et la bilharziose sont les principales maladies des populations locales à cause du déficit d’eau potable, car elles ont recours aux bas-fonds et cours d’eaux situés à la périphérie des villages.
Selon la direction régionale de l’Hydraulique du Bounkani, 324 pompes sont hors d’usage car tombées en panne depuis les années 80 et plus de 400 demandes de forages sont introduites par les populations dans le seul département de Bouna.
En dépit du programme ” Eau pour tous ” initié par le gouvernement et qui prend en compte la problématique de la réhabilitation ou de la réparation des pompes en panne, la question de l’accès à l’eau potable reste cruciale dans la région du Bounkani.
(AIP)
on/fmo
