Le président, Alassane Ouattara, a reçu les vœux des professionnels et experts du secteur de la communication et des médias, au cours d’une cérémonie qui s’est tenue ce jeudi 30 janvier à la salle des Pas Perdus du palais présidentiel d’Abidjan.
C’est un Chef d’Etat tout détendu qui a reçu des présents des faitières, Unjci ( Union des journalistes de Côte d’Ivoire) et Gepci ( Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire), et après s’est prêté à une séquence de questions et réponses.
Il faut retenir de ces échanges qu’Alassane Ouattara a promis une augmentation de l’aide publique et un nouveau décret pour élargir le champ du Fonds de soutien et de développement à la presse ivoirienne.
Néanmoins, il a été ferme sur le fait que « la vraie réponse aux problèmes de médias ne saurait résider dans l’accroissement de l’aide publique ». Car, il faut savoir qu’aux dires du président Alassane Ouattara, les médias doivent explorer de nouvelles voies de financement telle que la publicité.
Par ailleurs, interrogé sur l’actualité politique, à savoir son probable troisième mandat, il a répondu que la Constitution prévoit un délai pour l’annonce de la candidature et qu’en ce qui concerne ce délai sera respecté.
Relativement à la révision Constitutionnelle qu’il a annoncée il y a quelques mois, Ouattara a tenu à préciser qu’elle peut se faire six mois avant les élections. « Elle sera donc faite au mois de mars et avril, et personne ne sera exclue », a-t-il confirmé.
En outre, les représentants de la presse ont, par la voix de Jean-Claude, président de l’Unjci, saisi cette occasion pour demander au président de la République, une augmentation de l’enveloppe de la presse qui puisse permettre une subvention directe. Quant à Patrice Yai, président du Gepci, il a présenté un tableau peu reluisant des entreprises de presse. D’où son appel au Chef de l’Etat : « Notre sort est entre vos mains ».
Notons qu’au titre de l’année 2019, c’est un peu plus de 1,25 milliard FCFA qui a été déboursé par l’État de Côte d’Ivoire pour les divers appuis aux médias privés de Côte d’Ivoire.
JOB
C’est un Chef d’Etat tout détendu qui a reçu des présents des faitières, Unjci ( Union des journalistes de Côte d’Ivoire) et Gepci ( Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire), et après s’est prêté à une séquence de questions et réponses.
Il faut retenir de ces échanges qu’Alassane Ouattara a promis une augmentation de l’aide publique et un nouveau décret pour élargir le champ du Fonds de soutien et de développement à la presse ivoirienne.
Néanmoins, il a été ferme sur le fait que « la vraie réponse aux problèmes de médias ne saurait résider dans l’accroissement de l’aide publique ». Car, il faut savoir qu’aux dires du président Alassane Ouattara, les médias doivent explorer de nouvelles voies de financement telle que la publicité.
Par ailleurs, interrogé sur l’actualité politique, à savoir son probable troisième mandat, il a répondu que la Constitution prévoit un délai pour l’annonce de la candidature et qu’en ce qui concerne ce délai sera respecté.
Relativement à la révision Constitutionnelle qu’il a annoncée il y a quelques mois, Ouattara a tenu à préciser qu’elle peut se faire six mois avant les élections. « Elle sera donc faite au mois de mars et avril, et personne ne sera exclue », a-t-il confirmé.
En outre, les représentants de la presse ont, par la voix de Jean-Claude, président de l’Unjci, saisi cette occasion pour demander au président de la République, une augmentation de l’enveloppe de la presse qui puisse permettre une subvention directe. Quant à Patrice Yai, président du Gepci, il a présenté un tableau peu reluisant des entreprises de presse. D’où son appel au Chef de l’Etat : « Notre sort est entre vos mains ».
Notons qu’au titre de l’année 2019, c’est un peu plus de 1,25 milliard FCFA qui a été déboursé par l’État de Côte d’Ivoire pour les divers appuis aux médias privés de Côte d’Ivoire.
JOB