Gagnoa -Le Groupe de Contact Paix et Développement, autorité non gouvernementale de prévention des conflits, a annoncé lundi dans un communiqué, l’ouverture d’un atelier de formation et d’échanges sur la paix durable dans le département de Gagnoa, sur le thème de la contribution des chefs traditionnels, guides religieux et leaders communautaires.
Prévu pour se tenir de mercredi à vendredi, dans un hôtel de Gagnoa, cet atelier vise à sensibiliser les chefs traditionnels, guides religieux et leaders communautaires dudit département, à la culture de la paix durable, impliquer fortement les femmes dans les activités de paix et de cohésion sociale, faire de la jeunesse du département, des artisans de la paix et sensibiliser les populations au respect des us et coutumes.
Les objectifs recherchés selon l’un des principaux organisateurs, le président du comité départemental des chefs traditionnels de Gagnoa, Dr Dagbo Gadji Joseph, chef de canton Guébié, est d’amener les populations du Gôh à vivre dans un climat de paix et d’absence de méfiance.
Il assure que son Ong espère, qu’au sortir de l’atelier de Gagnoa, les différentes communautés se parlent et trouvent des solutions pacifiques aux conflits qui naissent et que les femmes et les jeunes participent activement aux débats et aux actions sur la culture de la paix et de la cohésion sociale.
Au total, 64 leaders publics sont attendus à cet atelier, notamment, 14 chefs de canton de Gagnoa, des guides religieux, des jeunes et des femmes représentant les fédérations et associations du département, des représentants de partis politiques, des chefs de communautés, des membres d’association des Droits de l’Homme et de la Cellule civilo-militaire.
La Côte d’Ivoire sort progressivement d’une grave crise socio-politique débutée en 1999 et dont la crise post-électorale de 2011 a marqué la fin, a fait observer docteur Gadji Joseph.
Le groupe de Contact paix et Développement, a été créé à l’initiative de l’ex-ministre des Eaux et Forêts, Louis André Dacoury- Tabley, actuel député et cadre de Gagnoa, des cadres et chefs traditionnels. L’Ong s’est présentée aux populations de la région comme un creuset de retrouvailles fraternelles de tous les cadres, des femmes, des jeunes et surtout des chefs traditionnels pour des actions de paix entre tous les fils et filles de la région du Gôh.
dd/fmo
Prévu pour se tenir de mercredi à vendredi, dans un hôtel de Gagnoa, cet atelier vise à sensibiliser les chefs traditionnels, guides religieux et leaders communautaires dudit département, à la culture de la paix durable, impliquer fortement les femmes dans les activités de paix et de cohésion sociale, faire de la jeunesse du département, des artisans de la paix et sensibiliser les populations au respect des us et coutumes.
Les objectifs recherchés selon l’un des principaux organisateurs, le président du comité départemental des chefs traditionnels de Gagnoa, Dr Dagbo Gadji Joseph, chef de canton Guébié, est d’amener les populations du Gôh à vivre dans un climat de paix et d’absence de méfiance.
Il assure que son Ong espère, qu’au sortir de l’atelier de Gagnoa, les différentes communautés se parlent et trouvent des solutions pacifiques aux conflits qui naissent et que les femmes et les jeunes participent activement aux débats et aux actions sur la culture de la paix et de la cohésion sociale.
Au total, 64 leaders publics sont attendus à cet atelier, notamment, 14 chefs de canton de Gagnoa, des guides religieux, des jeunes et des femmes représentant les fédérations et associations du département, des représentants de partis politiques, des chefs de communautés, des membres d’association des Droits de l’Homme et de la Cellule civilo-militaire.
La Côte d’Ivoire sort progressivement d’une grave crise socio-politique débutée en 1999 et dont la crise post-électorale de 2011 a marqué la fin, a fait observer docteur Gadji Joseph.
Le groupe de Contact paix et Développement, a été créé à l’initiative de l’ex-ministre des Eaux et Forêts, Louis André Dacoury- Tabley, actuel député et cadre de Gagnoa, des cadres et chefs traditionnels. L’Ong s’est présentée aux populations de la région comme un creuset de retrouvailles fraternelles de tous les cadres, des femmes, des jeunes et surtout des chefs traditionnels pour des actions de paix entre tous les fils et filles de la région du Gôh.
dd/fmo
