Abidjan- Le centre régional du programme « Wave » pour la gestion des agents phytopathogènes transfrontaliers, initiative visant à promouvoir la sécurité alimentaire, a été inauguré, jeudi 28 mai 2021, au cours d’une cérémonie présidée par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Adama Diawara.
Installé au sein du Pôle scientifique et d’innovation de l’Université Félix Houphouet Boigny de Cocody, ce centre hyper-équipé doté de plusieurs laboratoires d'analyses, va abriter les activités du programme Wave qui s’inscrit dans une approche sous-régionale visant à accroître la production alimentaire de manière durable en développant des méthodes de contrôle et de gestion efficaces des maladies des plantes et prévenant l’incursion de maladies exotiques des plantes dans de nouvelles zones, a expliqué son directeur exécutif, Dr Justin Pita.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a salué la création de ce centre qui, souligne-t-il, développera et mettra en œuvre des stratégies harmonisées de gestion des agents phytopathogènes dans la droite ligne des accords régionaux et internationaux.
« Je n’ai aucun doute que les actions et les résultats de ce centre bénéficieront aux gouvernements des Etats membres, aux associations d’agriculteurs, aux agriculteurs individuels, consommateurs pour une sécurité alimentaire durable », a-t-il souhaité.
Le Directeur du Conseil ouest et centre africains la recherche et le développement agricoles (CORAF), Dr Abdou Tenkouano a insisté sur la nécessité de lutter contre ces pathogènes qui occasionnent des pertes énormes de récoltes. Le CORAF est partenaire au programme Wave.
Selon le Fonds mondial pour l’alimentation et l’Agriculture (FAO), entre 20 et 40% de la production agricole mondiale sont perdus à cause des ravageurs. Les maladies des plantes quant à elles coûtent chaque année, à l’économie mondiale environ 200 millions de dollars, a justifié M. Tenkouano.
L’Union européenne à travers son programme Désira va apporter son appui, en soutenant des projets de recherches et d’innovation, le renforcement des capacités nationales de recherches, la structuration de la gouvernance de la recherche en impliquant les acteurs clés au niveau national, régional, continental et mondial, a fait savoir son attaché de coopération, Stephane Brossard.
bsb/ask
Installé au sein du Pôle scientifique et d’innovation de l’Université Félix Houphouet Boigny de Cocody, ce centre hyper-équipé doté de plusieurs laboratoires d'analyses, va abriter les activités du programme Wave qui s’inscrit dans une approche sous-régionale visant à accroître la production alimentaire de manière durable en développant des méthodes de contrôle et de gestion efficaces des maladies des plantes et prévenant l’incursion de maladies exotiques des plantes dans de nouvelles zones, a expliqué son directeur exécutif, Dr Justin Pita.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a salué la création de ce centre qui, souligne-t-il, développera et mettra en œuvre des stratégies harmonisées de gestion des agents phytopathogènes dans la droite ligne des accords régionaux et internationaux.
« Je n’ai aucun doute que les actions et les résultats de ce centre bénéficieront aux gouvernements des Etats membres, aux associations d’agriculteurs, aux agriculteurs individuels, consommateurs pour une sécurité alimentaire durable », a-t-il souhaité.
Le Directeur du Conseil ouest et centre africains la recherche et le développement agricoles (CORAF), Dr Abdou Tenkouano a insisté sur la nécessité de lutter contre ces pathogènes qui occasionnent des pertes énormes de récoltes. Le CORAF est partenaire au programme Wave.
Selon le Fonds mondial pour l’alimentation et l’Agriculture (FAO), entre 20 et 40% de la production agricole mondiale sont perdus à cause des ravageurs. Les maladies des plantes quant à elles coûtent chaque année, à l’économie mondiale environ 200 millions de dollars, a justifié M. Tenkouano.
L’Union européenne à travers son programme Désira va apporter son appui, en soutenant des projets de recherches et d’innovation, le renforcement des capacités nationales de recherches, la structuration de la gouvernance de la recherche en impliquant les acteurs clés au niveau national, régional, continental et mondial, a fait savoir son attaché de coopération, Stephane Brossard.
bsb/ask